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Journée régionale de la santé des jeunes : plus de 1 500 jeunes mobilisés à Reims

Collectivités
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La Région Grand Est a organisé ce jeudi 9 octobre, en partenariat avec l’Université de Reims Champagne-Ardenne, une Journée régionale de la santé des jeunes sur le campus Croix Rouge. Cet événement exceptionnel a réuni plus de 1 500 participants, parmi lesquels des lycéens, des étudiants, des volontaires en Service Civique ainsi que de nombreux professionnels de santé et de la jeunesse. Tous étaient rassemblés autour d’un objectif commun : faire de la santé des jeunes une priorité régionale.

Tout au long de la journée, les échanges ont permis de valoriser les projets portés sur le territoire, de créer des passerelles entre les jeunes et les professionnels, et de sensibiliser aux grands enjeux de la santé mentale avec ses déclinaisons concernant notamment la vie affective et sexuelle, l’activité physique ou encore les addictions.

(Crédits : Yannick Kusy/Région Grand Est)

La matinée a été marquée par une plénière, en présence de 400 étudiants issus des filières santé et social. Des témoignages inspirants et des retours d’expérience ont mis en lumière des initiatives locales innovantes, illustrant la dynamique régionale en matière de prévention. « Notre structure associative existe depuis moins de trois ans, et principalement implantée en zone rurale. Ce rendez-vous nous permet de développer notre réseau dans la région. Surtout, il nous permet d’apporter aux étudiants un message inédit et les informer sur nos actions » confirme Lucille Ottolili , responsable de « Odile en bonne santé », tiers lieu de Santé basé dans les Vosges, qui lutte contre les inégalités sociales dans ce domaine.

(Crédits : Yannick Kusy/Région Grand Est)

En parallèle, le Village Santé a proposé un espace vivant et interactif avec plus de trente exposants, permettant aux jeunes de poser leurs questions, de découvrir les dispositifs existants et de s’informer sur les ressources disponibles. Cinq ateliers immersifs ont rythmé la journée, abordant de manière pédagogique et participative des thématiques essentielles telles que l’activité physique, les addictions, la vie affective et sexuelle, la santé mentale et les gestes qui sauvent. « L’objectif, c’est de faire de la prévention. Il s’agit de présenter aux jeunes les acteurs existants sur le territoire qui peuvent les accompagner sur leurs différentes problématiques. Dans le village santé, par exemple, chacun peut trouver, parmi les professionnels exposants, une oreille attentive et une solution à ses problèmes » a indiqué Nadège Hornbeck, Vice-Présidente de la Région Grand Est, en charge de la santé, de la prévention et du handicap.

La Région Grand Est prend soin de ses jeunes

Cette mobilisation inédite s’inscrit pleinement dans la Feuille de route santé Grand Est 2021-2027, qui place la jeunesse, la prévention et l’innovation au cœur de ses priorités. Les retours enthousiastes des participants témoignent de l’importance de créer des espaces d’écoute, d’information et d’action pour les jeunes, afin de les accompagner dans leur parcours de santé et de citoyenneté. « Cette journée permet d’aller vers les jeunes, sur un campus universitaire, comme celui de la Croix-Rouge à Reims. C’est aussi l’occasion d’y faire venir d’autres jeunes, et de leur faire découvrir les outils développés par la Région Grand Est pour bouger, et prendre soin de leur santé » a résumé Guillaume Maréchal, Vice-Président de la Région Grand Est, en charge de la jeunesse et des sports.

Chiffres de la Sécurité routière - bilan de la semaine n° 39

Hommes et chiffres
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Depuis le début de l’année 2025, 16 décès ont déjà eu lieu sur les routes de l’Aube.

De trop nombreux comportements inadaptés et dangereux restent hélas constatés.
Le préfet et les forces de l’ordre demeurent mobilisés pour intensifier les contrôles et diffuser des messages de vigilance, de prévention et des conseils en matière de sécurité routière qui invitent chaque conducteur à adopter un comportement responsable sur les routes.

Ainsi, durant la semaine écoulée, les forces de l’ordre ont procédé aux verbalisations suivantes :

  • 5 excès de vitesse ;
  • 9 faits de conduite sous l’empire d’un état alcoolique ;
  • 10 Conduites sous stupéfiants ;
  • 43 véhicules immobilisés en raison d’infractions graves au Code de la route ;
  • 26 suspensions administratives immédiates de permis de conduire

#ConduireNeDevraitPasRimerAvecMourir

Octobre 2025

Informations Juridiques
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Mercredi 15

■ Employeurs de moins de 50 salariés : déclaration sociale nominative (DSN) et télépaiement des cotisations sociales sur les salaires de septembre payés en septembre ou octobre, ou sur les salaires de juillet à septembre pour les employeurs de moins de 11 salariés ayant opté pour le paiement trimestriel.

■ Taxe foncière : lorsque son montant n’excède pas 300 euros, la taxe foncière peut payée par chèque, carte bancaire ou virement, le 15 octobre au plus tard. Le télépaiement est obligatoire lorsque la somme excède 300 euros.

Lundi 20

■ Taxe foncière : date limite de paiement par voie dématérialisée (paiement en ligne, prélèvement à l’échéance...) pour les contribuables non mensualisés. Le paiement est débité sur le compte bancaire à partir du 25 octobre.

Jeudi 23

■ Taxe générale sur les activités polluantes : redevables de la taxe au régime réel simplifié de TVA : versement de l’acompte unique de la taxe au titre de 2025 (formulaire 2020-TGAP-AC sur impots.gouv.fr).

Mobilisation générale pour soutenir le tissu associatif le 11 octobre

Collectivités
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Le 11 octobre sera une journée nationale et locale de mobilisation pour la défense des associations. En Champagne-Ardenne, des actions auront lieu à Troyes, Chaumont, Charleville-Mézières et Reims.

Ces temps forts prendront la forme de rencontres entre associations pour échanger sur les difficultés actuelles ou à venir, et évoquer ensemble les moyens de maintenir un tissu associatif vivant au service de l’intérêt général.

« Au-delà du 11 octobre, d’autres actions seront organisées pour exiger le maintien des financements et un soutien actif aux associations », note Thomas Dubois, Président du Mouvement Associatif de Champagne-Ardenne. « Sans les associations : pas de sport, pas de culture, pas d’aide à la personne, pas de lien social ni de solidarité, pas de protection de la biodiversité. Ce n’est pas le monde que nous voulons ».

Pour le Mouvement Associatif de Champagne-Ardenne, « les associations occupent une place centrale dans notre société. Elles facilitent l’accès aux soins, à l’éducation, au sport, à la culture et aux droits. Elles soutiennent la lutte contre la précarité et l’isolement, encouragent le départ en vacances pour le plus grand nombre et défendent l’environnement ». Une mobilisation quotidienne, partout sur le territoire, qui est aujourd’hui menacée de différentes manières : Baisse continue des financements publics, Précarité grandissante des structures, Augmentation des besoins sociaux, Dégradation des conditions de travail des bénévoles et salariés, et Risque de disparition de nombreuses associations, y compris les plus petites.

Château-Thierry : un centre de soins immédiats ouvre pour désengorger les urgences

Collectivités
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Un centre de soins immédiats ouvrira le 3 novembre à Château-Thierry, une première dans l’Aisne. Situé avenue de l’Europe, il accueillera sans rendez-vous les urgences non vitales, du lundi au samedi et jours fériés de 9h à 19h. Quatre médecins, quatre infirmières et deux secrétaires médicales assureront la prise en charge.

Objectif : désengorger l’hôpital et réduire les délais, avec une durée de passage moyenne annoncée d’une heure. Toutes les consultations seront réalisées en secteur 1, sans dépassements d’honoraires.

Protection renforcée contre le démarchage téléphonique

Informations Juridiques
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La protection des consommateurs face au démarchage téléphonique sera renforcée à compter d’août 2026.

■ Actuellement, les consommateurs qui ne souhaitent pas faire l’objet de démarchage téléphonique peuvent s’inscrire sur la liste d’opposition Bloctel. Faute d’inscription, ils sont censés autoriser le démarchage téléphonique.

■ A compter d’août 2026, la logique sera inversée. La liste Bloctel sera supprimée et le consommateur devra avoir donné son consentement préalablement au démarchage. Il sera ainsi interdit de démarcher par téléphone un consommateur qui n’a pas exprimé son consentement, la preuve du consentement incombant au professionnel.

Comme actuellement, il restera possible de démarcher par téléphone un consommateur dans le cadre de l’exécution d’un contrat en cours. L’interdiction de la prospection par téléphone pour des équipements ou des travaux d’économies d’énergie dans les logements ou la production d’énergies renouvelables, porte aussi désormais sur la prospection par SMS, courriel ou sur les réseaux sociaux (mesure applicable dès le 2 juillet 2025).

■ Rappelons que la prospection commerciale par téléphone n’est autorisée que du lundi au vendredi (sauf jours fériés) de 10 heures à 13 heures et de 14 heures à 20 heures (sauf si le consommateur y a expressément consenti). En outre, tout contrat conclu à la suite d’un démarchage téléphonique non autorisé est nul.

Loi 2025-594 du 30 juin 2025 ; Code de la consommation, article L 223-1

Suspension temporaire de l’épandage et du stockage des boues

Collectivités
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Suspension temporaire de l’épandage et du stockage des boues ou des digestats issus des stations d’épuration et des installations classées pour la protection de l’environnement sur les aires d’alimentation de captage et les périmètres de protection des captages d’eau potable dans les Ardennes.

En déclinaison du plan d’actions annoncé à l’occasion de la réunion qui s’est tenue le 11 septembre en présence de l’ensemble des acteurs concernés par la pollution aux PFAS de l’eau de consommation de 13 communes du département, le Préfet des Ardennes, Christian Chassaing, a pris vendredi 26 septembre 2025 un arrêté préfectoral visant à suspendre temporairement l’épandage et le stockage des boues ou des digestats issus des stations d’épuration et des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) sur l’ensemble des aires d’alimentation de captage et des périmètres de protection des captages d’eau potable dans le département.

Cette décision intervient en application du principe de précaution, dans le souci de protection de la santé publique et de l’environnement, face aux risques liés à la présence de substances peret polyfluoroalkylées (PFAS) dans l’eau potable. Ces substances peuvent être contenues dans les boues ou digestats et représenter un risque pour la qualité des eaux souterraines et de surface.

Cette mesure s’applique à toutes les aires d’alimentation de captage et, pour les captages qui ne sont pas dotés de telles aires, aux périmètres de protection (immédiate, rapprochée et éloignée) d’eau potable dans le département. Pour les captages sans périmètre ou avec seulement un périmètre immédiat, la suspension concerne un rayon de 100 mètres autour du captage. Elle est prise pour une durée de 12 mois à compter de la date de signature, avec possibilité de reconduction expresse ou de levée à tout moment au regard de l’évolution de la réglementation et de l’avancement des connaissances sur la présence et la concentration de PFAS, notamment dans les boues et les digestats. Elle peut faire l’objet de dérogations exceptionnelles, limitées à une durée de 3 mois, si la suspension met en péril la sécurité d’exploitation de la station d’épuration ou de l’ICPE concernée. Néanmoins, l’octroi d’une telle dérogation est soumis à la proposition, par le demandeur, d’une alternative à la suspension.

Cette décision a fait l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs des services de l’État dans les Ardennes, et d’une diffusion sur le site internet de la préfecture des Ardennes. Elle est par ailleurs notifiée aux détenteurs de plans d’épandage et aux gestionnaires de captage.

Pour mémoire les surfaces faisant l’objet de plans d’épandage dans le département correspondent à 36 000 ha (7% de la surface du territoire). Moins de 10 % de ces surfaces croisent une aire d’alimentation de captage et 2 200 ha de cette surface croisent un périmètre de protection éloigné de captage.

Caroline Fiot, nommée chef de caves de la Maison Ruinart

Hommes et chiffres
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La Maison Ruinart annonce la nomination de Caroline Fiot comme chef de caves. Experte du chardonnay, elle succède à Frédéric Panaïotis, chef de caves depuis 2007, et disparu cette année. Ingénieur agronome et oenologue diplômée de l’Institut Agro de Montpellier (France), Caroline Fiot débute sa carrière dans les vignes de Saint Emilion. Elle acquiert ensuite des expériences internationales au sein de domaines vinicoles notamment aux Etats Unis et au Vietnam. De retour en France, Caroline Fiot complète sa formation scientifique en intégrant la Chaire LVMH de l’ESSEC Business School.

En 2016, Caroline Fiot rejoint la Maison Ruinart, où elle intègre l’équipe oenologique dirigée par le chef de caves Frédéric Panaïotis. Elle rejoint le Comité de dégustation et mène des projets de Recherche et Développement. Après un passage chez Chandon Argentine, en 2020, elle revient en Champagne en 2021, sur le site de cuverie Mont Aigu au sein de la Maison Moët & Chandon. Caroline Fiot rejoint aujourd’hui Ruinart, comme chef de caves, avec pour mission d’élaborer et de faire rayonner les vins de la plus ancienne maison de Champagne, dont le chardonnay est la signature.

Report du rassemblement patronal du 13 octobre

Entreprises
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Contrairement à ce qui avait pu être communiqué précédemment, le MEDEF national a pris, le lundi 6 octobre, une décision « lourde mais responsable » : reporter le grand rassemblement patronal initialement prévu le 13 octobre.

Dans un communiqué officiel, le MEDEF précise : « Ce choix s’impose dans un contexte d’extrême tension politique et institutionnelle. Notre responsabilité, en tant que représentants des entreprises, est de contribuer à l’apaisement du débat public, et non d’ajouter au désordre. Le risque de chaos qui menace le pays appelle à la prudence, à la cohérence et à la mesure ».

Pour Alexandre Farro, président du MEDEF Grand Est : « Le pays traverse un moment d’extrême tension politique et institutionnelle. Notre rôle, comme représentants des entreprises, n’est pas d’ajouter au désordre mais de contribuer à l’apaisement. Je veux remercier très sincèrement tous ceux qui se sont mobilisés ces dernières semaines : votre énergie, votre détermination et votre engagement illustrent la force du patronat français lorsqu’il sait se rassembler. Soyons clairs : ce report n’est en aucun cas un renoncement. Nos inquiétudes, nos exigences et parfois notre colère demeurent intactes. Notre combat pour une politique économique à la hauteur des enjeux continue. Plus que jamais, nous allons le porter dans les médias, dans l’opinion et auprès des décideurs politiques. Restons unis, restons mobilisés, et faisons entendre la voix des entreprises. »

Guise : un giratoire à 600 000 € inauguré pour développer la zone économique

Collectivités
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Les travaux du nouveau rond-point de Guise, lancés le 30 juin dernier, se sont achevés bien plus vite que prévu, en moins de trois mois. D’un coût total de 600 000 €, financé par la ville, la communauté de communes Thiérache Sambre et Oise et le Département de l’Aisne, ce giratoire doit sécuriser l’entrée de la zone commerciale et préparer la création d’une future pénétrante prévue pour 2026. Objectif : accompagner l’essor économique du secteur et fluidifier un trafic poids lourds en nette augmentation.

Fermeture administrative d’une boulangerie à Reims

Entreprises
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Dans un communiqué en date du 2 octobre, la Préfecture de la Marne a annoncé avoir pris un arrêté à de fermeture à l’encontre d’une boulangerie rémoise. Il s’agit de la boulangerie EMENDI, sise 17 place Jean Moulin à REIMS, qui a fait l’objet d’un contrôle inopiné en date du 24 septembre 2025, ayant mis en évidence de nombreuses non-conformités, parmi lesquelles :

-  présence de nombreuses blattes au niveau des zones plonges et cuisson des viennoiseries ;
-  maintenance des locaux et équipements non satisfaisante ;
-  défauts de nettoyage et désinfection de certains locaux et équipements ;
-  conditions de stockage des denrées non maîtrisées ;
-  ré-utilisation de conditionnements en plastique à usage unique pour stocker des denrées alimentaires ;
-  défaut d’information du consommateur sur la présence d’allergènes à déclaration obligatoire ;
-  hygiène du personnel insuffisante.

En conséquence, et conformément aux dispositions de l’article L 233-1-I du code rural et de la pêche maritime, le préfet de la Marne a pris un arrêté de fermeture de ce commerce.

La réouverture ne pourra intervenir qu’après que l’exploitant aura corrigé toutes les non- conformités relevées et à la suite d’une nouvelle visite de contrôle pour s’en assurer, assure la Préfecture de la Marne.

Reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle

Collectivités
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L’état de catastrophe naturelle a été reconnu par arrêté interministériel paru au Journal Officiel le 26 septembre 2025, pour les communes de :

• Bohain-en-Vermandois, au titre des inondations et coulées de boue, survenues le 23 juillet 2025 ;
ET
• Morgny-en-Thiérache, au titre des inondations et coulées de boue, survenues le 24 juillet 2025.

La préfecture de l’Aisne rappelle que les sinistrés disposent d’un délai de 30 jours à compter de la publication de cet arrêté pour effectuer leur déclaration de sinistre auprès de leurs compagnies d’assurances.

Les CMA et les Urssaf du Grand Est unissent leurs forces pour accompagner les artisans

Entreprises
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La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Région Grand Est (CMA Grand Est) et les Urssaf du Grand Est (Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine) ont conclu, le lundi 22 septembre, une convention de partenariat stratégique.

Cette signature associe également la Chambre de Métiers d’Alsace et la Chambre de Métiers de Moselle, permettant ainsi de couvrir l’ensemble du territoire régional.

Un partenariat au service de la vitalité économique du Grand Est

L’objectif de ce rapprochement est clair : renforcer la coopération entre les réseaux afin d’offrir aux entreprises artisanales du Grand Est un accompagnement toujours plus efficace, coordonné et accessible.

Artisans, créateurs, repreneurs et employeurs font face, au quotidien, à des défis multiples : gestion administrative, financement de la protection sociale, transmission d’entreprise, prévention des difficultés…

En signant cette convention, les CMA et les Urssaf du Grand Est affirment leur volonté commune d’agir ensemble pour sécuriser les parcours des entrepreneurs, simplifier leurs démarches et contribuer à la vitalité économique et sociale de la région.

« Les Urssaf d’Alsace, de Champagne-Ardenne et de Lorraine s’associent à la CMA Grand Est avec un objectif commun : garantir à nos usagers artisans un accès facilité à l’information et à des services sur mesure, contribuant ainsi à la pérennité et au dynamisme de leurs entreprises. »
— Les Urssaf du Grand Est

Cinq axes d’action prioritaires

La convention s’articule autour de cinq priorités, pensées pour répondre aux besoins concrets des artisans :

  • Renforcer les liens entre les deux réseaux : échanges réguliers, formations croisées et partage d’outils pour mieux informer les entreprises.
  • Accompagner la création, le développement et la transmission : mise en valeur des dispositifs de la CMA Grand Est et de l’Urssaf.
  • Soutenir les entreprises en difficulté : orientation réciproque et rapide vers les dispositifs adaptés (médiation, aide sociale du CPSTI, CCSF, dispositif Help…).
  • Prévenir et lutter contre le travail illégal : sensibilisation des artisans, information des jeunes en apprentissage, coopération renforcée pour limiter les pratiques frauduleuses.
  • Partager les connaissances socio-économiques : mise en commun d’études et de données.

Des bénéfices concrets pour les artisans.

Grâce à ce partenariat, les artisans bénéficieront :

  • d’une information simplifiée et centralisée,
  • d’une orientation plus rapide vers les bons interlocuteurs,
  • d’un meilleur accompagnement dans les périodes de transition (création, première embauche, transmission…),
  • d’un soutien renforcé en cas de difficulté,
  • d’une prévention accrue des risques liés au travail illégal ou à la méconnaissance des obligations sociales.

Aisne : 32 nouveaux policiers rejoignent les rangs départementaux

Collectivités
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32 nouveaux fonctionnaires de police viennent renforcer la direction départementale de l’Aisne. Accueillis en préfecture à Laon par la préfète et la commissaire divisionnaire Stéphanie Bella, ils seront répartis sur les cinq circonscriptions du département (Saint-Quentin, Soissons, Laon, Tergnier et Château-Thierry). Ce renfort, qui compense retraites et mutations, comprend des policiers adjoints, des gardiens de la paix, des gradés et des agents administratifs. D’autres recrutements sont attendus en janvier.

CMA et Urssaf se coordonnent pour servir les entreprises

Entreprises
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La Chambre de métiers et de l’artisanat du Grand Est (CMA) signe un accord avec les URSSAF de la Région pour améliorer le service aux artisans, entrepreneurs, créateurs ou repreneurs d’activités. L’objectif vise à une meilleure collaboration entre la chambre consulaire et les Urssaf pour simplifier le parcours des entreprises avec plus de réactivité. « Avec ce partenariat, nous mettons nos forces en commun pour offrir aux artisans un accompagnement plus clair, plus réactif et mieux coordonné », explique Christophe Richard, président de la CMA Grand Est.

La convention prévoit des échanges réguliers et des formations croisées avec un partage d’outils entre les deux structures. Les dispositifs de la CMA et de l’Urssaf pour la création, le développement et la transmission d’entreprise seront également partagés et valorisés. Ils orienteront réciproquement les entreprises en difficulté vers la médiation, l’aide sociale et les soutiens possibles comme Help. La collaboration permettra aussi faire de la prévention contre le travail illégal auprès des artisans et des jeunes en formations. Enfin, Urssaf et CMA mettront en commun leurs indicateurs et études pour mieux anticiper les évolutions du secteur.

L’accord ratifié le 22 septembre par la CMA Grand Est s’étend par ailleurs à la Chambre de Métiers d’Alsace et la Chambre de Métiers de Moselle, pour une couverture régionale du dispositif.