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Reconnaissance de l’État de catastrophe naturelle dans l’Aisne

Collectivités
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L’état de catastrophe naturelle a été reconnu par arrêté interministériel paru au Journal Officiel le 25 août 2021 pour les communes suivantes, au titre des inondations et coulées de boue du 13 au 15 juillet 2021 :

  • CYS-LA-COMMUNE
  • HARY
  • MONTAIGU
  • SERINGES-ET-NESLES
  • VINCY-REUIL-ET-MAGNY

La préfecture de l’Aisne rappelle que les sinistrés disposent d’un délai de 10 jours à compter de la publication de cet arrêté pour effectuer leur déclaration de sinistre auprès de leurs compagnies d’assurances.

La fin des voitures thermiques programmée

Automobile
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La commission européenne a décidé qu’on ne pourrait plus vendre de voitures neuves roulant au sans plomb ou au gazole en 2035. D’ici là, le prix des modèles utilisant des moteurs thermiques aura fortement augmenté si on en croit les sombres prévisions des constructeurs qui prévoient un enchérissement jusqu’à 50% pour les adapter aux normes d’émissions sans cesse durcies.

Plusieurs questions restent en suspend : Le nombre de stations de recharge pour les voitures électriques sera-t-il suffisant ? Quel sera le prix du « plein » de jus ? Sans oublier les disparités des mesures prises entre les pays les plus intransigeants et les pays les plus pollueurs.

Rimbaud’Tech lance son nouvel appel à projets jusqu’au 30 août 2021

Entreprises
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Vous avez un projet innovant, avec un siège social à implanter sur le territoire des Ardennes et votre entreprise n’est pas créée ou alors depuis moins d’un an ? Candidatez à l’appel à projets innovants Rimbaud’Tech, rejoignez la 7e promotion d’entrepreneurs innovants et bénéficiez d’un accompagnement personnalisé par des Experts de l’entrepreneuriat.

Pour s’inscrire : https://www.rimbaud-tech.fr/appel-a-projets-innovants

Le Gouvernement lance un plan de relance pour la pratique du sport

Collectivités
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Après avoir déjà consacré plus de 6 milliards d’aides économiques au secteur, le Gouvernement a engagé un plan de relance du sport inédit, souhaité par le Président de la République, qui se traduit par :

  • le lancement d’une campagne de communication nationale valorisant le rôle essentiel du sport pour la santé et incitant les Français à pratiquer une activité sportive régulière ;
  • le déploiement du Pass’Sport doté de 100 M€ afin d’aider 5,4 millions d’enfants à s’inscrire dans un club sportif à la rentrée de septembre grâce à une aide de 50 € par enfant (sous conditions de ressources) ;
  • le plan de relance Sport doté de 122 millions d’euros va également continuer à se déployer pour dynamiser l’emploi sportif, soutenir les associations, accélérer la transformation numérique des fédérations et la transition écologique des équipements sportifs.

Le marché de l’occasion à la peine

Automobile
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Les ventes de voitures d’occasion marquent le pas depuis deux mois, particulièrement celui des modèles les plus récents en raison d’une offre limitée : - 35,3% par rapport à la même période 2020. Le marché de l’occasion, plutôt soutenu au cours des cinq premiers mois de l’année, pique du nez lui aussi : -6,4% en juin, -17,5% en juillet.

Près de 524.000 occasions ont cependant été échangées. Ce recul qui dépasse 50% touche en priorité les modèles les plus récents, essentiellement écoulés par le biais des professionnels. La raison mise en avant par « Auto-scout », le premier site européen de ventes de voitures d’occasion : « L’effet d’un relatif manque d’offres commence à se faire sentir avec des immatriculations de véhicule de très jeunes occasions d’un an et moins en forte baisse de plus de 38% en volume ».

Un Vaccino’Car sur les routes de l’Aisne

Collectivités
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Financé par l’ARS Hauts-de-France et la Région Hauts-de-France, un Vaccino’Car – dispositif mobile de vaccination – propose à partir du 16 août des vaccinations au plus près des habitants de l’Aisne.

Pour faciliter encore plus l’accès à la vaccination, un Vaccino’car fera étape ces prochaines semaines dans des villes et villages du département. Ce dispositif vient compléter un maillage déjà dense en lieux de vaccination « de masse » et apporte des solutions de grande proximité aux quelques personnes pour lesquelles la mobilité reste un frein à la vaccination, notamment dans les zones les plus reculées du territoire.

PNA : Plus de 170 projets financés sur tout le territoire

Collectivités
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Le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation déploie une nouvelle vague de financement pour 107 projets collectifs œuvrant pour l’accès du plus grand nombre à une alimentation locale et durable. Initié dans le cadre du Programme national pour l’alimentation (PNA) et accéléré par le plan France Relance, ce soutien permet de « relocaliser l’agriculture et l’alimentation au plus près de chacun et de faire émerger de des initiatives locales et fédératrices. »

Le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation a annoncé le déploiement de 8,4 millions d’euros en faveur de projets collectifs agissant pour l’alimentation locale, durable et de qualité.

Cette dynamique, engagée dès 2014 avec le Programme national pour l’alimentation (PNA), a été largement décuplée par le plan France Relance avec deux objectifs principaux : soutenir l’émergence de nouveaux projets alimentaires dans les territoires et encourager le développement de projets existants ou de projets pilotes innovants.

L’appel à projets annuel du PNA pour l’émergence de ces initiatives a pu être doté au total de 14 millions d’euros grâce au soutien du plan France Relance, soit une multiplication par 7 de son budget initial. Il est cofinancé par le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, le Ministère de Solidarité et de la Santé et l’ADEME.

Ce soutien inédit du plan de relance a permis de financer la création et la consolidation de 151 projets alimentaires territoriaux sur l’ensemble du territoire. L’objectif fixé d’au moins un projet alimentaire territorial par département d’ici 2023 est aujourd’hui quasiment atteint avec près 300 projets labélisés au total sur 98 des 101 départements français

A ce jour, le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation présente 86 nouveaux lauréats de cet appel à projets qui viennent s’ajouter aux 65 déjà présentés en mars dernier. En complément, le second volet de l’appel à projet du Programme National pour l’Alimentation s’adressant aux projets innovants ou exemplaires, vient de désigner 21 lauréats pour l’édition 2020-2021. Avec des portées nationale ou régionale, ces derniers se distinguent par la qualité de leur démarche dont le PNA subventionne l’essaimage.

Dans le Grand-Est, le nouveaux lauréats sont :

  • PAT du Pays Thur Doller (Vieux-Thann, 68)
  • PAT de la Communauté d’Agglomération Forbach Porte de France (CAFPF) (Forbach, 57)
  • PAT du Pôle d’Equilibre Territorial et Rural du Pays du Sundgau (Altkirch, 68)
  • PAT de la Communauté de communes Bouzonvillois Trois-Frontières (Bouzonville, 57)
  • PAT de l’Aube (Troyes, 10)

Les flottes en route vers l’électromobilité

Automobile
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Les ventes aux sociétés ont soutenu le marché automobile français au premier semestre avec un accroissement significatif de la part des hybrides et des hybrides rechargeables.

À quelle date les véhicules thermiques seront-ils définitivement interdits à la vente ? En 2035, a tranché sans nuance la Commission Européenne. Les plus radicaux militent même pour avancer la date à 2030. À plus courte échéance encore, la mise en place en 2025 des Zones à faibles émissions (ZFE) dans une cinquantaine d’agglomérations de plus de 150 000 habitants risque d’exclure des villes 26 millions de voitures. Pour ce qui concerne les entreprises, la loi d’Orientation des mobilités (LOM) de 2019 a déjà imposé aux sociétés de plus de 50 salariés des quotas de véhicules propres émettant moins de 60g/km de CO2 lors des renouvellement de leur flotte. Une part qui atteindra 50% en 2030.

Ces perspectives conjuguées pèsent sur les choix automobiles des entreprises. Leurs décisions sont d’autant plus importantes que depuis le début de l’année, les ventes aux sociétés soutiennent un marché des particuliers qui peine à s’affranchir des effets de la crise sanitaire. Sur le seul mois de juin, le recul est de 32% alors que celui des entreprises ne baisse que de 7%. Plus réservés que les clients particuliers vis à vis des modèles électrifiés, les sociétés ne restent pas à l’écart de la tendance générale. Il y a quatre ans, les flottes de leurs voitures particulières (VP) étaient massivement constituées de diesel : 77%. Un niveau tombé à 40%, compensé principalement par des modèles essence dont la part a quasiment doublé : de 17% à 31%.

Depuis l’an dernier, les hybrides et les hybrides rechargeables ont accentué leur présence dans les parcs des entreprises, une évolution mise en évidence par AAAData, expert en données dans les secteurs de la consommation. Le volume des hybrides de toutes catégories a augmenté de façon rapide : 4% en 2017, 16% l’an passé et 24% depuis le début de l’année. Une évolution profonde. La part des 100% électriques n’a pas suivi la même courbe ascendante que sur le marché des clients particuliers et reste limitée à 5% contre à peine 1% en 2017.

Cela s’explique par les besoins spécifiques des sociétés avec un fort kilométrage annuel et la recherche d’un coût total d’utilisation le moins élevé possible. Ces contraintes s’exercent encore davantage pour les utilitaires, ce qui explique un taux de dieselisation de 88% (95% en 2017). Les nombreux lancements d’utilitaires légers électrifiés ou 100% électriques, en particulier des constructeurs français qui règnent en maîtres sur le marché national, devraient changer la donne rapidement.

Le logo d’une entreprise affiché gratuitement sur le maillot de l’équipe de France de tennis de table

Entreprises
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Dans un contexte sanitaire exceptionnel, la Fédération française de tennis de table (FFTT) en partenariat avec le Medef, s’associent pour soutenir une TPE, une PME ou une start-up qui s’est distinguée par ses actions solidaires. À la clé, la marque sera visible sur le maillot des équipes de France de Tennis de Table pendant un an. C’est une convention de 3 ans qui va unir la FFTT et le Medef. En effet, chaque année une entreprise méritante sera mise à l’honneur par la Fédération.

Pour l’édition 2021, c’est une TPE, une PME ou une start-up qui a oeuvré pendant la crise du Covid qui sera sélectionnée. Ce partenariat s’articule autour d’un concours à l’issue duquel l’entreprise gagnante se verra proposer d’afficher gratuitement son logo sur une manche du maillot des équipes de France (seniors, jeunes) porté par ses joueurs lors de toutes les rencontres internationales.

Le concours gratuit est ouvert à toute entreprise remplissant les conditions suivantes : TPE/PME/startup française de moins de 250 salariés ; Créée depuis plus de 3 ans. Il suffit ensuite de déposer un dossier de candidature avec une présentation de l’entreprise et des produits ou services réalisés dans la bataille contre la Covid- 19. Il doit être envoyé par mail à l’adresse suivante : fftt@medef.fr avant le 18 octobre 2021.

Galloo déplace sa succursale à Lumes

Entreprises
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Lors de la dernière séance de conseil communautaire, Ardennes Métropole a acté la vente au groupe Galloo d’une parcelle cadastrée d’une surface de 20 355 mètres-carrés. Cette société qui avait racheté il y a une dizaine d’années l’entreprise familiale et iconique Alves s’apprête donc à déménager sa succursale de Bourg-Fidèle pour l’implanter au sein du lotissement d’activités de Lumes, créé par le Département à la périphérie de Charleville-Mézières et passé il y a quelques mois, dans le giron de la communauté d’agglomération.

À cet endroit idéalement situé à quelques centaines de mètres de la voie rapide Charleville- Mézières-Sedan et déjà bien rempli avec les présences de l’entreprise Evolution, du Centre d’exploitation des barrages de l’Aisne et de la Meuse (Bameo-SeMao), du Centre d’entretien et d’intervention de la DIR-Nord et de la Fédération départementale d’énergie des Ardennes, Galloo prévoit d’installer un centre de recyclage et de traitement de métaux ferreux et non ferreux. Tous les documents permettant la mise en oeuvre de ce programme ont été signés mais l’autorisation d’exploiter étant soumise au feu vert de la DREAL, ce transfert d’activité et des dix salariés de l’entreprise du Plateau ne devrait être effectif qu’en 2023.

Comptant 39 succursales en France et en Belgique, le groupe franco-belge Galloo qui donne une seconde vie à plus d’un million de tonnes d’acier et à plus de 60 000 tonnes de métaux figure, grâce à sa capacité de traitement, parmi les poids lourds du recyclage en émergeant dans le top dix des plus importantes entreprises en Europe dans ce domaine d’activité.

Dans le village de Bourg-Fidèle où elle est basée, route du Cheval Blanc, l’unité ardennaise traite à la fois de l’achat et de la vente de ferrailles et de métaux ferreux, de la transformation des véhicules hors d’usage, de la démolition des métaux, du démantèlement d’installations industrielles et de la collecte de machines-outils. Elle fournit aussi des services en matière de recyclage, de valorisation des déchets industriels et de location de bennes.

SMG Mecamodel étoffe son parc machine

Entreprises
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Ayant fait l’objet d’une liquidation alors qu’elle était encore implantée à Vrigne-aux-Bois, la Société Mécanique Générale Mecamodel a pu continuer son activité sous forme de société coopérative et participative (SCOP), à partir de 2015, à Brévilly, dans des locaux loués aux Transports Davenne, cinq de ses anciens salariés ayant décidé de s’impliquer dans le sauvetage de leur outil de production. Cette équipe d’opérateurs techniques, aujourd’hui placée sous la direction de Jonathan Brault, Didier Lambert et Marine Caplain, peut être satisfaite des résultats obtenus.

Car SMG Mecamodel qui a depuis doublé son effectif en comptant désormais dix employés réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires de 650 000 euros. Pour encore l’améliorer, l’entreprise va investir 500 000 euros dans deux machines numériques. Un effort qui lui a valu d’être aidé financièrement par la région Grand Est à hauteur de 160 000 euros. Oeuvrant dans les domaines de l’usinage et de la mécanique générale de précision, la société a su se tailler une belle place dans des secteurs d’activités comme le machinisme agricole, le poids lourd, l’automobile, la robinetterie, les travaux publics, le ferroviaire et le chauffage.

La PME offre son expertise en proposant des activités comme le brasage, le soudage, le tournage, le fraisage, le perçage, l’alésage et la rectification de pièces métalliques. Déjà bien équipée avec cinq centres d’usinage, quatre tours CN et une fraiseuse traditionnelle, une mortaiseuse et des perceuses à colonne, Mecamodel va donc encore améliorer un parc machines varié afin d’assurer toutes les prestations demandées par sa clientèle, notamment La Fonte Ardennaise, Kuhn à Saverne, Four Grandmère dans les Vosges et Ephrem dans le sud de la France.

Comptes courants d’associés

Informations Juridiques
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Le taux maximum de rémunération des comptes courants d’associés s’établit à 1,16 % au second trimestre 2021 (contre 1,23 % au premier trimestre 2021 et 1,18 % sur l’ensemble de l’année 2020).

Pour les sociétés arrêtant un exercice de douze mois au cours du troisième trimestre 2021, le taux annuel peut déjà être fixé :

Clôture de l’exercice
Du 30 juin au 30 juillet : taux à 1,18%
Du 31 juillet au 30 août : taux à 1,18%
Du 31 août au 29 septembre : taux à 1,18%

Tant qu’ils n’excèdent pas le taux maximum, les intérêts versés en rémunération des comptes courants sont déductibles du résultat fiscal de la société. Pour les associés, les intérêts qui leur sont versés, qu’ils soient déductibles ou non, constituent des revenus de capitaux mobiliers (sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés).

Les revenus de capitaux mobiliers sont soumis, au titre de l’impôt sur le revenu, au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 % (12,80 % + 17,20 % de prélèvements sociaux).

Les contribuables peuvent cependant opter pour l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu pour l’ensemble de leurs revenus soumis au PFU. Ils bénéficient alors de la déduction de 6,8 points de CSG. En outre, dans les sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés, les intérêts non déductibles sont considérés comme des dividendes et bénéficient donc de l’abattement de 40 %.

Si la société versante relève de l’impôt sur le revenu, les intérêts non déductibles sont imposés comme des revenus professionnels.

Polo GTI : espèce en voie d’extinction

Automobile
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Dans le prolongement des versions restylées plus sages, Volkswagen avait annoncé l’arrivée d’une GTI. Promesse tenue avec une petite berline survitaminée de 207ch.

Les jours des petites berlines sportives thermiques sont comptés, on le sait. Elles désertent les gammes des grands constructeurs les unes après les autres, sacrifiées avec d’autant moins de scrupules qu’elles sont devenues des modèles de niche. À l’heure où les grands groupes industriels du secteur sont contraints de raisonner en termes d’émissions de CO2 et d’investir des milliards d’euros dans l’électrification à marche forcée de leur catalogue, elles ne pèsent pas lourd.

Quelques marques n’abdiquent pas. C’est le cas de Volkswagen en particulier. Lors de la présentation des versions restylées de son best-seller, VW avait promis une GTI. Elle vient d’être dévoilée, poursuivant une histoire de plus de deux décennies. Pour beaucoup, la Polo GTI est l’héritière directe de la Golf GTI originelle dont elle a peu ou prou les dimensions (4,07m de long) à défaut du poids (1 286 kg).

Cœur de la plus GTI des GTI : un 2l quatre cylindres turbo suralimenté de 207ch, accouplé à une boite DSG à double embrayage à sept rapports. Un attelage performant : 0 à 100 km/h en 6,5 secondes, couple maxi de 320Nm disponible entre 1 500 et 4500tr/mn.

Une voiture réactive

Disposant de trains roulants spécifiques avec notamment deux lois d’amortissements et quatre modes de conduite au choix agissant sur la direction, le moteur et le passage des rapports, blocage de différentiel électronique XDS en série, cette GTI répond aux desiderata de son conducteur. Elle peut recevoir une multitude d’équipements de sécurité et de confort et d’innombrables aides à la conduite dont un régulateur de vitesse actif prédictif pouvant aller jusqu’à l’arrêt complet.

La Polo GTI, comme ses sœurs moins turbulentes, se rapproche de la conduite autonome. Mais est-ce pour cela qu’on l’achètera ? À bord, place au tout numérique avec plusieurs choix d’écrans possibles et des systèmes d’info-divertissement de dernière génération.

Cette technologie fait bon ménage avec les signes traditionnels des sportives de la marque : touches de noir, de gris et surpiqûres rouges, sièges habillés du fameux tissu à carreaux « clark » gris-rouge et noir, monogrammes GTI apposés un peu partout. Bien campée sur ses jantes en alliage de 17 pouces (18 en option) laissant apercevoir ses étriers de reins rouges, assiette abaissée de 15mm : la Polo GTI reste fidèle à sa légende. C’est l’essentiel !

Cérèsia et le Crédit Agricole du Nord Est signent un contrat de financement syndiqué

Entreprises
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Partenaires historiques, le groupe coopératif Cérèsia et la Caisse régionale du Crédit Agricole du Nord Est viennent de signer un contrat syndiqué pour une période de 4 ans, avec trois options d’extension d’un an. Ce crédit permet de refinancer les encours existants et couvrir les besoins en fonds de roulement du groupe. Banque coopérative avec en partage les mêmes valeurs que Cérèsia, le Crédit Agricole du Nord Est, premier prêteur a été désigné comme coordinateur et agent de facilité.

Comme le Crédit Agricole du Nord Est, les 6 autres banques* de ce pool étaient déjà engagées dans le précédent financement des besoins d’exploitation du groupe coopératif. Pour ce nouveau prêt, chacune a renouvelé sa confiance à Cérèsia avec une quote-part de financement identique.

Pour Guillaume Lelouvier, directeur des marchés agro-alimentaires au Crédit Agricole du Nord Est, « ce refinancement concrétise notre partenariat durable avec le groupe Cérèsia et démontre notre volonté de progresser ensemble au service d’un même territoire. Pour cette première en tant que coordinateur et agent, nous sommes fiers d’avoir pu partager les ambitions en matière de RSE du groupe Cérèsia en les intégrant à part entière dans la documentation de crédit. À l’heure où l’Union Européenne vient de valider son Green Deal, nous sommes convaincus du rôle primordial que le groupe Cérèsia va continuer à jouer au cours des prochaines années dans la transition agro-environnementale de notre agriculture régionale. »

En effet dès son premier bilan RSE réalisé par le cabinet EcoVadis, le groupe coopératif s’est fixé des objectifs d’amélioration continue indexés à 4 critères : éthique, achats responsables, environnement, social et droit de l’Homme dont les performances vont s’appliquer sous forme de bonus ou malus sur la marge du financement.

Olivier Trubert, Secrétaire Général du groupe Cérèsia : « Par cette opération, notre groupe a sécurisé le financement de 4 campagnes au minimum. Le fait que l’ensemble de nos partenaires bancaires aient renouvelé à l’identique leurs engagements, démontre la confiance qu’ils ont en notre modèle. Suite à la dernière fusion, notre démarche en matière de RSE a été renforcée, nous sommes donc ravis de pouvoir intégrer et valoriser cette dimension auprès de nos prêteurs, qui eux aussi, partagent les mêmes convictions ».

À Guillaume Lelouvier de conclure, « mettre la finance au service de la RSE, c’est agir efficacement avec nos clients et partenaires dans l’intérêt de la société en favorisant la transition environnementale ».

*Banque Européenne du Crédit Mutuel, Caisse d’Épargne Grand Est Europe, Caisse.

Le CV-CNF et la CRVC poursuivent leur rapprochement

Champagne / In Vino
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Forts du temps de réflexion qu’ils ont su s’accorder pour finaliser les dossiers principaux, le Centre Vinicole - Champagne Nicolas Feuillatte (CV-CNF) et la Coopérative Régionale des Vins de Champagne - Champagne Castelnau (C.R.V.C.) définissent ensemble les prochaines étapes de leur projet et se placent désormais dans les meilleures dispositions pour finaliser le Traité de fusion.

Plusieurs commissions chargées d’établir les orientations stratégiques du projet vont élaborer la trame du nouveau Groupe qui résultera de cette opération. Y collaboreront les élus, membres des Bureaux de chaque structure, ainsi que les directeurs opérationnels concernés.

Les conclusions seront exposées à chaque Conseil d’Administration au mois de novembre 2021 pour validation, lesquelles seront traduites et approuvées dans un Traité de Fusion proposé ultérieurement en Assemblée Générale Extraordinaire.

Construction d’un plan à 5 ans

La date d’exécution votée par les Assemblées Générales Extraordinaires de chaque structure est annoncée au plus tard fin janvier 2022. « Instruits des performances 2020 et d’une vision de sortie de crise, nous sommes en ordre de marche pour construire un plan à cinq ans qui soit porteur pour la filière », déclare Christophe Juarez, Directeur Général du CV-CNF.

Les orientations stratégiques de ce projet vont être éclairées du potentiel d’un portefeuille de marques extrêmement complémentaires et d’une forte culture coopérative.

« Les associés-coopérateurs ont adhéré massivement au projet et sont persuadés d’un vif rebond après cette crise économique soudaine et brutale », déclare Emmanuel Comyn, Président de la CRVC.

« La mobilisation des équipes va être très forte, portée à la fois par le redémarrage de l’animation commerciale et par une vendange qui s’annonce automnale », affirme Véronique Blin, Présidente du CV-CNF. « L’implication de tous est indispensable pour envisager avec sérénité une nouvelle organisation à mettre en place dès l’exercice 2022. »