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Jaunisse de la betterave : le pire devrait être évité en 2023

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S’il est prématuré de dresser un bilan définitif de la jaunisse pour 2023, la Confédération générale des planteurs de betteraves estime que les observations faites dans les différentes régions betteravières indiquent que les surfaces touchées par la jaunisse, à ce stade, sont faibles à modérées au niveau national.

Depuis l’apparition des premiers pucerons verts à la mi-avril, la filière betterave-sucre et la Confédération générale des planteurs de betteraves (CGB) sont en effet très vigilantes quant à l’apparition des symptômes de jaunisse dans les parcelles de betteraves sucrières.

Cette maladie est causée par quatre virus distincts, disséminés par les pucerons. Pour mémoire, la Cour de Justice de l’Union européenne a interdit l’utilisation des néonicotinoïdes en enrobage de semences de betteraves en janvier 2023, remettant la filière française dans une impasse pour lutter efficacement contre ces ravageurs.

Pour la CGB, « les symptômes continuent à apparaître dans plusieurs régions et il sera nécessaire d’attendre le début de la récolte à la mi-septembre pour mesurer précisément l’ampleur de l’épidémie et ses conséquences sur les rendements ».

Il existe d’ailleurs des foyers où la pression jaunisse est déjà forte (régions Centre-Val de Loire et Ile-de-France notamment), avec des parcelles touchées à plus de 50%. Les agriculteurs concernés pourraient connaître des pertes très significatives de rendement.

L’engagement de compenser intégralement les pertes de rendement doit être respecté

Début février 2023, le ministre de l’Agriculture s’est publiquement engagé à ce que les pertes dues à la jaunisse soient intégralement compensées, sans franchise, ni plafond. L’interprofession vient de recevoir un courrier du Délégué interministériel auprès de la filière sucre indiquant « qu’en l’absence de crise de grande ampleur, il ne sera très vraisemblablement pas possible de justifier l’activation de l’article 221 de l’OCM », ce qui signifierait revenir au régime dit « de minimis ».

« L’engagement du ministre et du gouvernement devant le Parlement de compenser intégralement les pertes de la jaunisse doit être respecté pour les agriculteurs concernés, quelle que soit l’ampleur de la jaunisse et quel que soit le dispositif d’indemnisation retenu, afin de préserver les surfaces betteravières pour les années à venir », déclare à ce sujet Franck Sander, président de la CGB. « Il est également urgent d’apporter aux agriculteurs des solutions techniques complémentaires pour lutter efficacement contre les pucerons ces prochaines années. »

ArcelorMittal va fermer le site de Fresnoy-le-Grand

Hommes et chiffres
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L’établissement de Fresnoy-le-Grand, au nord-est de Saint-Quentin, fait partie des 4 sites repris fin 2017 par ArcelorMittal, 2ème producteur d’acier au monde et 1er en France. Avec les sites de Rethel (Ardennes), Lexy (Meurthe-et-Moselle) et Vincey (Vosges), il assurait alors la production de Lorraine Tubes, seul fabricant français de tuyaux d’acier soudés. En 2004, ArcelorMittal avait cédé Lorraine Tubes à l’espagnol Condesa et l’a donc repris 13 ans plus tard, lorsque ce dernier, en difficulté, a vu son capital restructuré.

Mais déjà, lors de ce retour au bercail, l’usine de Fresnoy-le-Grand avait été moins bien traitée que les autres. ArcelorMittal avait annoncé sauver ainsi 233 emplois et en avait pourtant sacrifié une vingtaine dans l’établissement axonais. 6 ans plus tard, il n’en restait plus que 13 sur le site. Sa fermeture définitive a été annoncée fin juillet aux représentants du personnel lors d’un comité central d’entreprise. Des négociations vont s’ouvrir sur les offres de reclassement et les conditions de départ. Le site industriel et les bâtiments seront vendus.

Les autres sites se portent bien

Rebaptisée AMTP (ArcelorMittal tubular products), l’entreprise a clairement misé sur ses trois autres sites et bien remonté la pente. Lexy, tout près de Longwy, a profité des plus gros investissements, ainsi que de l’installation du siège. Rethel s’est concentré sur la production des tubes longs et épais. Vincey est spécialisé dans les petits et moyens diamètres pour constructions métalliques et logistiques.

Depuis la reprise, la production a été multipliée par 10. Et AMTP mise sur son label Véritube, garantie origine France, pour se développer encore et atteindre l’objectif de 200 000 tonnes produites par an.

Réaffirmation des droits des peuples autochtones.

Europe
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À l’occasion de la Journée internationale des peuples autochtones du monde le 9 août 2023, l’Union européenne a réaffirmé son attachement ferme et constant au respect, à la protection et à l’exercice des droits des peuples autochtones énoncés dans le droit international relatif aux droits de l’homme et dans la déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones.

« Puisque, cette année, la Journée internationale est consacrée à la “Jeunesse autochtone en tant qu’agent de changement pour l’autodétermination“, nous célébrons en particulier la participation au débat et la capacité d’agir des jeunes autochtones ».

Cette année, l’Union européenne a, entre autres, investi 2,3 millions d’euros dans une nouvelle initiative, Dialogues de la jeunesse arctique, qui vise à associer la jeunesse arctique et européenne, notamment la jeunesse autochtone, à l’élaboration des politiques et à la prise de décision, pour un avenir pacifique, durable et prospère dans la région, conformément à la politique arctique de l’UE et au plan d’action pour la jeunesse dans les relations extérieures de l’UE.

Le chômage en légère diminution dans les Hauts-de-France, selon l’INSEE

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La dernière note de conjoncture régionale de l’INSEE semble assez rassurante sur l’évolution de l’emploi dans les Hauts-de-France en dépit des difficultés économiques. Elle a été publiée le 6 juillet et porte sur le 1er trimestre de l’année. A propos de l’emploi, les analystes de l’Institut notent qu’il repart à la hausse (+ 0,2 %), à un niveau comparable à la moyenne nationale (0,3 %). Le secteur le plus porteur est celui des services marchands (+ 0,4 %), pourtant en retrait par rapport à la dynamique nationale (+ 0,7 %) dans ce domaine.

Dans le même temps, le taux de chômage se stabilise dans les Hauts-de-France, « après deux baisses consécutives aux trimestres précédents », précise la note de conjoncture. Il s’établit à 8,7 % et reste toutefois supérieur à celui de 7,1 % observé dans l’ensemble du pays. L’Oise se situe cependant juste dans la moyenne nationale et demeure le département le plus actif de la région.

L’Aisne à la traîne

Au contraire, l’Aisne reste le seul département où l’emploi a continué de baisser au 1er trimestre, certes légèrement (- 0,1 %, soit 110 emplois). Deux secteurs y présentent un solde positif : celui des services marchands (+ 80 emplois) et celui de l’industrie (+ 40 emplois).

S’agissant du chômage, le département est toujours l’un des plus touchés de l’Hexagone, avec un taux de 10,4 %, après les Pyrénées-Orientales avec 11,7 %. Mais la situation y est assez contrastée : dans la région de Laon, le chômage a encore progressé de 0,3 %, alors qu’il a reculé de 0,1 % à Château-Thierry, qui s’avère l’un des bassins d’emploi les mieux pourvus de la région.

Sedan rayé de la carte du football national

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Au terme de trois audiences devant la DNCG et le CNOSF et de deux fins de non-recevoir du Comité Exécutif de la FFF et du Tribunal administratif de Paris entre le 4 juin et le 8 août, le CSSA a finalement été expédié au sixième niveau français.

Guy Cotret et le parterre de chefs d’entreprises et d’experts-comptables français auquel il était associé, ne sont donc pas parvenus à convaincre les diverses instances, à la seule exception du CNOSF qui avait émis – mais en vain – un avis favorable à une possible conciliation.

Aux yeux de la FFF et de la juridiction parisienne, le CSSA n’aurait apporté aucun élément nouveau pour réévaluer les finances du club et « attester de la réalité du redressement financier ou d’un commencement de rétablissement ».

Les financements des collectivités locales venues en soutien du club ont, par ailleurs, été jugés trop conditionnels, car non votés par les assemblées. Les deux organismes ont expliqué le même jour à quelques heures d’intervalle leur décision par un communiqué… rigoureusement similaire, invoquant « les principes applicables de saine gestion financière des compétitions et d’équipe sportive ainsi que l’importance de la gestion financière et des règles afférentes au contrôle selon un calendrier réglementaire précis ».

Trouver des infrastructures

Il a été reproché au pool de repreneurs d’avoir trop tardé dans ses démarches par rapport au délai appliqué à tous les autres clubs. Enfin, la FFF a précisé que la commission d’appel de la DNCG avait constaté, le 4 juillet, un résultat net de l’exercice 2022-2023 faisant apparaître un passif de 1,9 M€ et un déséquilibre financier de 1,3M€ pour le budget prévisionnel 2023-2024.

Après cette double salve clôturant un funeste feuilleton, le banquier d’affaires rémois Guy Cotret s’est dit « abasourdi et écœuré par cette décision infondée qui ne fait référence qu’à la gestion des années passées et pas du tout à notre projet. On a vraiment l’impression que notre dossier pourtant très argumenté n’a même pas été lu ». L’ancien président d’Auxerre a d’ailleurs saisi le Conseil d’Etat et envisage même de porter plainte contre la FFF.

Les potentiels repreneurs du club ayant conditionné leur projet à un maintien du CSSA en National, il appartiendra donc à Marc Dubois, redevenant ainsi le président de la SAS, de déposer le bilan du club au Tribunal de commerce de Sedan.

Par l’intermédiaire de l’association du club, le CSSA repartira en championnat de Régional 1. La future équipe dirigeante va s’atteler dans un court délai à trouver des infrastructures pour s’entraîner dans la mesure où le domaine de Montvillers à Bazeilles et ses terrains de football sont la propriété de la Société de Développement Touristique du Domaine de Montvillers dirigée par Marc Dubois.

Créé en 1919, Sedan est une institution du football français. Deux fois vainqueur de la Coupe de France en 1956 et 1961 et trois fois finaliste de cette épreuve, le club a évolué durant 23 saisons dans l’élite. Après avoir été sacré champion de France amateur en 1951 et champion de France de D2 en 1955.

Ebury devient partenaire premium du Stade de Reims

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Le Stade de Reims annonce la signature d’un contrat de partenariat Premium avec Ebury, une FinTech notamment spécialisée dans la fourniture de solutions de change. La société internationale apparaîtra sur les tuniques stadistes tout au long de la saison. Ebury, FinTech mondiale de premier plan, assume pour la première fois le rôle de sponsor maillot en France grâce à son partenariat avec le Stade de Reims.

Cette collaboration avec un club au projet sportif unique, qui a compté pas moins de 36 nationalités dans son effectif au cours des trois dernières saisons, converge avec les ambitions de croissance d’Ebury. Outre sa présence sur les maillots rémois, Ebury apportera également toute son expertise dans la réalisation des transactions internationales du club rouge et blanc. Un partenariat qui a débuté avec le premier match de championnat face à Marseille le samedi 12 août.

« Pour franchir des frontières, vous devez être courageux et oser rêver. Comme Ebury, le Stade de Reims a une riche histoire mais un avenir encore plus excitant. Nous sommes ravis que nos deux marques unissent leurs forces et sommes enthousiastes quant au potentiel que ce partenariat nous apporte mutuellement. Chacun de nos 1 400 employés encouragera l’équipe à chaque fois qu’elle foulera la pelouse. Nous sommes Rouge et Blanc ! » a commenté Fernando Pierri, Chief Commercial Officer at Ebury.

Pour Mathieu Lacour, Directeur Général du Stade de Reims, « Nous l’avons dit par le passé, pour grandir, le Club ne se fixe ni limites, ni frontières. Une philosophie en parfaite symbiose avec la vocation première d’Ebury. C’est donc avec beaucoup de fierté que nous accueillons cette FinTech sur nos maillots pour un partenariat particulièrement porteur de sens. »

Ebury est une FinTech qui propose des solutions et services financiers permettant aux entreprises de toutes tailles d’échanger et de se développer à l’international. Ebury propose des services dans plus de 130 devises, tant sur les marchés majeurs que dans les économies émergentes, avec une offre orientée autour des problématiques de paiements internationaux, de gestion du risque de change et de prêts aux entreprises.

Fondée en 2009, à Londres, par les entrepreneurs espagnols Juan Lobato et Salvador García, Ebury a étendu ses opérations mondiales à un réseau de 32 bureaux dans 21 pays, avec plus de 1 400 employés.

Le tribunal administratif sur le point d’autoriser l’usine Rockwool, près de Soissons

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Dans un jugement rendu le 21 juillet, le tribunal administratif d’Amiens a rejeté toutes les objections des opposants à l’installation de l’usine Rockwool dans la zone du Plateau de Courmelles, à la périphérie de Soissons. Voulu par le géant danois et leader mondial de la laine de roche, ce projet fait l’objet de nombreuses et vigoureuses contestations alléguant un grave danger de pollution… depuis 2007.

Récemment, le même tribunal avait contraint le maire de Courmelles, qui s’y refusait, à signer le permis de construire de l’usine. Cette fois-ci, le juge a réfuté les arguments soulevés par les associations Picardie Nature et Sauvons Soissons au sujet des menaces sur la santé, l’environnement, les ressources en eau, la maîtrise énergétique et la protection du paysage, de cette usine et de sa cheminée de 50 m de haut. Il a toutefois demandé à Rockwool un dernier complément d’étude sur l’impact environnemental du projet, avant de rendre son jugement définitif.

D’autres procédures en cours

Celui-ci, avec 130 emplois à la clé, a reçu l’accord du préfet de l’Aisne et l’appui de la communauté de communes du Grand Soissons. Un référendum organisé en juin à Courmelles a cependant montré l’opposition d’une grande partie de la population, convaincue par les mises en garde de médecins et professionnels du Soissonais. Les opposants ne baissent pas les bras et la justice aura encore à trancher dans plusieurs procédures en cours, notamment contre le permis de construire.

Les Talents du Grand Est de la création d’entreprise sont révélés

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Le réseau d’accompagnement BGE lance la troisième édition des Talents BGE de la création d’entreprise. 39 parcours de vie sélectionnés dans toute la France mis en lumière sur un site web dédié et dans une web-série de 14 épisodes (1 par région), diffusée à partir du mois d’octobre, suivant le parcours d’un des entrepreneurs. L’objectif : observer la réalité entrepreneuriale à travers le parcours de ceux qui créent.

Dans le cadre cette opération dédiée à l’entrepreneuriat, les structures BGE de la région Grand Est (BGE Champagne-Ardenne et BGE Alsace-Lorraine) ont désigné leurs 2 Talents :

Ils se distinguent par leur parcours inspirant, parfois accidenté, leur sens de l’innovation et leur volonté de répondre aux enjeux sociaux et écologiques contemporains en entreprenant avec des modèles économiques pérennes et adaptables.

Retrouvez les Talents de la création d’entreprise de la région : https://talents.bge.asso.fr/regions/grand-est/

L’événement estival de la Champagne prendra ses quartiers à Celles-sur-Ource les 29 & 30 juillet

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Le flyer de l'évènement
(Crédit : CAP’C)

Cette année, l’association CAP’C met en lumière la petite commune de Celles-sur-Ource où 500 âmes vivent au rythme de la vigne. Cette authentique bourgade auboise ouvrira ses portes aux visiteurs le dernier week-end de juillet lors de l’événement phare de l’été de la région, la Route du Champagne en Fête. Les 19 vignerons de Champagne participants ouvriront leurs caves et offriront aux 30 000 visiteurs attendus quelques 25 000 bouteilles de Champagne en dégustation tout au long du week-end.

La Route du Champagne en Fête c’est un week-end festif grâce à un carnet de tickets qui permet de déguster des flûtes de Champagne et autour d’animations proposées par les caves telles des dîners dansants, des repas à la truffe, des bars à cocktails à base de Champagne, la visite du Musée de la bouteille ancienne, le survol de la Côte des Bar en avion, les visites environnementales du vignoble, une ruche pédagogique présentée par le Syndicat Apicole de l’Aube, une exposition de voitures anciennes, des démonstrations de soufflage de verre par le Musée du Cristal de Bayel, des bourses aux capsules ou des expositions artisanales parmi tant d’autres.

Tarif du passeport : 30 € avec 18 tickets de dégustation

-* Les Master Class du week-end à destination d’un public d’amateurs

La Route du Champagne en Fête 2023 propose de participer à des Master Class à thème animées par des experts en leur domaine. Chaque session d’1h30 offrira un éclairage sur une thématique autour du Champagne accompagné d’une dégustation commentée de cuvées produites à Celles-sur-Ource.

Réservation sur le site https://www.cap-c.fr/ onglet Billetterie Tarif : 30 € - nombre de places limité / Transfert véhiculé pris en charge entre le village et l’aérodrome où se déroule la Master Class.

  • Le patrimoine local est mis en valeur à travers l’association « Histoire et Patrimoine de Celles-sur-Ource » qui oeuvre au souvenir du passé. À l’occasion de la Route du Champagne, un stand dédié offrira aux visiteurs la possibilité d’acquérir de vieux ouvrages réécrits et republiés présentant la vie du vigneron et des capsules collector de l’événement afin de financer la restauration de biens publics hérités du passé.

Déclaration d’occupation des biens : SCI et personnes morales propriétaires, vous aussi vous êtes concernées

Informations Juridiques
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La taxe d’habitation sur les résidences principales est intégralement supprimée à compter de cette année. Néanmoins, les taxes d’habitation sur les résidences secondaires et sur les locaux vacants sont maintenues. Afin d’identifier les locaux qui doivent être imposés à ce titre, fiabiliser la situation des propriétaires restant redevables et assurer la taxation la plus correcte, une nouvelle obligation déclarative a été mise en place à destination des propriétaires de biens immobiliers bâtis, à usage d’habitation.

Tout propriétaire d’une résidence principale, secondaire ou d’un bien locatif doit en effet déclarer à quel titre il l’occupe. S’il n’y réside pas lui-même, il doit signaler l’identité des occupants.

Les personnes morales, notamment les sociétés civiles immobilières (SCI), sont ainsi pleinement soumises à cette obligation déclarative. La création d’un espace professionnel et l’adhésion au service Gérer mes biens immobiliers constituent, pour la personne morale, le préalable à la déclaration sur le site impots.gouv.fr. Il est possible d’effectuer cette déclaration sans pénalités jusqu’au 31 juillet 2023 inclus.

Pour toute aide ou information, les usagers peuvent être accompagnés :

  • en contactant le 0 809 401 401 (service gratuit + prix appel) du lundi au vendredi de 8h30 à 19h.
  • en consultant la documentation en ligne sur le site impots.gouv.fr : documentation relative au service en ligne Gérer mes biens immobiliers (Accueil / Toutes les actualités / Gérer mes biens immobiliers : un nouveau service en ligne pour les usagers propriétaires), et à la création de votre espace professionnel (Accueil / Fiches focus sur les téléprocédures).
  • en se rendant dans leur Service des Impôts des Particuliers.

La CRESS Grand Est coordonne un Village ESS à la Foire de Châlons-en- Champagne le 7 septembre 2023

Collectivités
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La Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire du Grand Est accompagne le développement et la promotion de l’économie sociale et solidaire sur l’ensemble du territoire régional. Elle compte parmi les 16 CRESS du territoire national. Les missions des CRESS sont définies par la loi relative à l’ESS du 31 juillet 2014.

Dans l’objectif de montrer la place de l’ESS dans l’économie de nos territoires et sa grande diversité en terme d’activités, de produits et de services, elle coordonne une journée sur la Foire de Châlons-en-Champagne le 7 septembre 2023.

La Foire de Châlons est un rendez-vous incontournable de la rentrée économique, politique, sociale et commerciale. La 77ème édition se tiendra du 1er au 11 septembre. 2e rendez-vous agricole de France, elle est le lieu des rencontres avec les élus, les acteurs économiques et les citoyens. En 2021, 200 conférences et 206 500 entrées ont été enregistrées.

C’est l’opportunité de rendre visible ce qu’apporte l’ESS au territoire et à la société. Les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire s’invitent pour la première fois à la Foire pour y animer sur le parvis, un village de 100 m2, dédié aux acteurs locaux de la transition écologique, sociale, solidaire et citoyenne.

Ce village se veut dynamique et animé à l’image des entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire du territoire présentes dans tous les secteurs d’activité et dans notre vie quotidienne. Les acteurs de l’ESS animeront ce pavillon tout au long de la journée.

4 esspaces de 9h à 19h

  • ESSpace Sport – Santé – Bien – être : avec des ateliers permettant de comprendre le fonctionnement de son corps et des animations étonnantes tel qu’un orchestre végétal ou un chariot snoezelen pour éveiller tous vos sens.
  • ESSpace alimentation durable : il est possible de manger local et sain sans se ruiner, venez découvrir les cantines associatives de votre région et les structures qui oeuvrent pour une alimentation saine et durable, contre le gas-pillage alimentaire.
  • ESSpace transition écologique et numérique : recyclerie, ressourcerie, friperie solidaire, bourse aux livres, vélo de récupération, réemploi numérique, stand impression 3D, simulation des aides à rénovation.
  • ESSpace rESSources : un accueil partagé par les acteurs de l’emploi, de l’insertion et de l’entrepreneuriat dans l’Economie Sociale et Solidaire. Vous souhaitez découvrir les offres d’emploi, connaitre les dispositifs pour monter un projet ou entreprendre, on vous renseigne !

Séverine Couvreur succède à Pierre-Emmanuel Taittinger à la présidence de la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne

Hommes et chiffres
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Séverine Couvreur
Séverine Couvreur (Crédit : DR)

Exploitante viticole sur la commune de Rilly-La-Montagne et de Courville, Séverine Couvreur a rejoint la Mission dès 2015, en intégrant le Conseil Scientifique. Elle se consacre à des enjeux diversifiés comme les énergies renouvelables et leur implantation dans un bien inscrit au Patrimoine mondial, la création du livre blanc de l’oenotourisme, l’environnement, la rénovation et l’embellissement de lieux emblématiques de la Champagne.

Après avoir été nommée en 2021, vice-présidente du Conseil Scientifique chargée de la biodiversité, aux côtés de Jean-Luc Barbier, Séverine Couvreur succède à Pascal Férat en mars 2022, au poste de vice-présidente de la Mission.

À l’heure où elle prend ses fonctions de présidente, des échéances-clés sont devant elle. Tout d’abord la construction du deuxième plan de gestion du bien et la préparation de la célébration des 10 ans de l’inscription de la Champagne au Patrimoine mondial.

La BPALC s’engage auprès des SDIS 51 et SDIS 55 pour faciliter le volontariat

Collectivités
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Photo de Hubert DE MARCELLUS et Philippe SALMON
Hubert DE MARCELLUS, Directeur Général adjoint de la BPALC et Philippe SALMON, Vice-Président du Conseil d’Administration du SDIS 51. (Crédit : DR)

Deux nouvelles signatures ont formalisé l’engagement de la BPALC vis-à-vis des Sapeurs-pompiers volontaires des SDIS 51 et SDIS 55 pour faciliter le volontariat de ses collaborateurs. Cette convention départementale de soutien à la politique du volontariat chez les Sapeurs-pompiers est la déclinaison en région de celle signée précédemment entre la Fédération Nationale des Banques Populaires et Ministère de l’Intérieur et des Outre-Mer. La BPALC a souhaité s’inscrire pleinement dans cette démarche en phase avec ses valeurs de banque coopérative et son ancrage dans ses Territoires d’Alsace, de Lorraine et de Champagne.

La pérennisation du volontariat chez les Sapeurs-Pompiers étant devenue un enjeu majeur de société, cette convention donnera désormais la possibilité au collaborateur volontaire de bénéficier, chaque année, d’un maximum de 10 ouvrés avec maintien de rémunération dédiés à l’exercice de ses fonctions de Sapeur-Pompier Volontaire. Ainsi, la BPALC, à travers ses collaborateurs Sapeurs-Pompiers Volontaires, contribuera concrètement au service des concitoyens de ses territoires du Grand Est et a reçu du SIS, le label « employeur partenaire des sapeurs-pompiers ». Les sapeurs-pompiers volontaires (SPV) permettent d’assurer des secours en tout point du territoire à tout moment.

La Foire de Châlons et le Crédit Agricole du Nord Est agissent ensemble pour le territoire

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Partenaires depuis plus de 70 ans, la Foire de Châlons et le Crédit Agricole du Nord Est ont choisi d’unir leurs forces pour faire de ces 11 jours (du 1er au 11 septembre 2023), 11 jours de mise en valeur des atouts du territoire, 11 jours d’utilité à l’économie.

Des nouveautés pour cette 76e édition

Beaucoup de nouveautés parmi lesquelles, le lancement de la marque collective « Agriculture, cœur de nos territoires », illustration de la pluralité des savoir-faire et des activités de l’agriculture et de la viticulture. La marque réunit une quinzaine d’acteurs fédérés autour de la Chambre d’Agriculture et s’installera en extérieur sur la droite du Capitole.

Du côté du Crédit Agricole du Nord Est, l’accent sera mis cette année sur les transitions énergétiques avec notamment la plateforme « J’écorénove mon logement », solution complète pour accompagner les particuliers dans leurs travaux d’éco-rénovation ou encore la prévention avec, le 7 septembre, le passage du Gar’o Risk Tour, le Village de la prévention du Crédit Agricole du Nord Est, organisé avec les principaux acteurs publics de la prévention (pompiers, gendarmerie, MSA, prévention routière, communautés de communes…).

Une journée dédiée aux jeunes et des événements pour les séniors

« Cette année, nous participons à nouveau au « Jeudi des jeunes » le 7 septembre, une journée unique pour les jeunes du territoire auxquels nous proposerons des informations utiles à leur formation et l’accès à l’emploi, par exemple des conseils pour la rédaction de leur CV, la prise de photos, ainsi que des offres de rentrée pour s’équiper ou assurer son logement dès 6 euros / mois », indique Vincent De Koninck, directeur de la Relation Client au Crédit Agricole du Nord Est.

Pour les professionnels, en plus du stand qui leur est dédié, le Crédit Agricole du Nord Est et la FDSEA 51 reconduisent leur conférence inaugurale, dont le thème cette année est l’avenir de la filière betterave et son écosystème dans la région, avec l’intervention de Timothée Masson, secrétaire général de l’organisation mondiale des producteurs de betterave et de canne à sucre. Après la conférence, une table ronde réunira des acteurs locaux de la filière.

Feux de récolte : la Marne en vigilance Orange

Collectivités
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En raison des conditions climatiques, la préfecture de la Marne informe que l’indice Éclosion Propagation est en vigilance orange à compter de ce jour. Mesures de prévention et de lutte contre les feux de récolte à mettre en place :

  • Disposer de moyens d’alerte ;
  • Disposer d’extincteurs à eau ou à poudre dans les engins
  • Nettoyer régulièrement les engins ;
  • Disposer de moyens de déchaumage à proximité des chantiers, et si possible de tonnes à eau ;
  • Adapter les horaires de pressage de paille ;
  • Parcelles longeant des habitations ou des bois : faucher puis, si possible, déchaumer le long des habitations ou des bois, avant de procéder à la récolte du reste de la parcelle.

En cas d’incendie :

  • Composez le 18 ou le 112 en cas de départ de feu ;
  • Indiquez précisément le lieu de l’incendie, et où vous vous trouvez ;
  • En attendant les secours, utilisez les moyens à votre disposition pour limiter le sinistre mais NE PRENEZ PAS DE RISQUES ! ;
  • Accueillez ou faites accueillir les secours depuis la route principale et leur indiquer les chemins d’accès au sinistre ;
  • Dès l’arrivée des sapeurs-pompiers, présentez-vous afin de déterminer les priorités et la stratégie d’attaque du feu ;
  • Respectez les distances de sécurité entre intervenants dans des conditions difficiles avec visibilité réduite ! Minimum 10 mètres ;
  • Ne vous exposez pas dans la zone sous le vent.