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Le Crédit Agricole Nord Est, en partenariat avec WIZBII, réunit le 17 décembre, à Reims, une dizaine d’entreprises locales lors d’un grand évènement de recrutement. Ce rendez-vous, qui s’intègre dans le dispositif « Youzful // Job Dating » du Crédit Agricole a pour objectif de créer la rencontre entre les entreprises de la région qui recrutent (telles que Groupe Audeo, O2 Care Services, Siliceo) et une soixantaine de candidats à la recherche d’un emploi. Une vingtaine de postes en CDI, CDD, intérim et stage seront proposés, notamment dans les secteurs de la banque, du courtage et de l’assurance, du service à la personne et des énergies renouvelables.

Objectif : Dynamiser l’emploi en région

Le Crédit Agricole Nord Est s’engage en faveur des jeunes et propose de faciliter la mise en relation entre candidats et recruteurs locaux. Le Grand Est, région industrielle historique, compte 2,5 millions de travailleurs au 1er trimestre 2024. En 2024, plus de 193 000 embauches sont prévues, principalement dans l’agriculture et la santé.

Programme :

• 17h30 - Accueil des candidats
• 17h45 : Présentation des entreprises et du processus de recrutement
• 18h00 - 20h30 : Entretiens de 10 minutes, échanges et cocktail

Après l’événement, les candidats auront également accès gratuitement à une plateforme en ligne sur laquelle ils retrouveront des modèles de CV, des conseils et astuces pour les aider à développer leur projet professionnel.

« Osez la collaboration, abandonnez l’isolement ! ». C’est par ce slogan que la pépinière d’entreprises du Val-de-Vence à Charleville-Mézières a cherché à inciter de jeunes créateurs d’entreprises et des auto-entrepreneurs à participer à la première édition du « Coworking Day ». « Cette journée était entièrement consacrée à la promotion du coworking. Par cette nouvelle action, nous voulions faire découvrir cette méthode d’organisation du travail qui permet à ceux qui l’adoptent d’œuvrer studieusement dans des salles partagées avec d’autres acteurs », explique Stéphane Deparpe, le nouveau directeur de la structure ardennaise.

Quels sont les bienfaits procurés par le coworking ?

« La rupture de l’isolement du chef d’entreprise au travail, le fait de changer son rythme habituel en s’accordant quelques pauses ou coupures au cours desquelles le coworker, en parlant avec d’autres collègues par exemple, peut booster sa créativité, étoffer son réseau de connaissances et trouver de nouvelles sources de business. Sans oublier bien sûr la convivialité. Enfin, dans ce type d’espace commun où l’on se sent bien, on ne risque pas d’être distrait ou interrompu par un appareil électroménager ou des visites extérieures », énumère Stéphane Deparpe. La journée a connu un succès intéressant auprès des résidents, des indépendants et d’autres professionnels de différents horizons, parmi lesquels certains coworkers réguliers comme, entre autres, l’agence de communication Ardennes Impulse, la recruteuse indépendante Karina Braquet, le directeur d’Agence Champagne Ardenne d’Acorus, Maxence Billet, le designer graphique indépendant d’Essence Visuelle, Jordan Debray, le coach de vie Anthony Nicolas, le Groupe CAFPI (courtier en prêt immobilier indépendant), le télétravailleur Vincent Barreau et l’entreprise City Taps.

Ouvert aux entrepreneurs et porteurs de projet, ce concours vise à récompenser les idées innovantes de jeunes startups et valoriser la création d’entreprises.

Qui peut participer ? Il s’adresse à des porteurs de projet et aux entreprises de moins de 6 ans. Tout participant au concours doit avoir atteint l’âge de 18 ans au moment de son inscription.

Comment participer ? Les participants doivent s’inscrire en remplissant le dossier de candidature accessible en ligne sur www.epernay-agglo.fr ou sur les pages Facebook d’Epernay Agglo Champagne et de Pep’ s in Champagne.

Inscription et envoi des dossiers en ligne jusqu’au samedi 1er février 2025 (minuit).

Les candidats sélectionnés recevront un email de confirmation de leur sélection, leur précisant les conditions/modalités de tenue du jury (qui se compose de professionnels de la création et de l’accompagnement d’entreprises, de partenaires, d’entrepreneurs et de membres de l’équipe de Pep’s in Champagne) pour le concours de pitch qui se déroulera le jeudi 6 mars 2025 dans les locaux de Pep’s in Champagne.

Christine Gandon, présidente du Crédit Agricole Nord Est, a remis un chèque de 14 000 € de la Fondation Crédit Agricole à l’association Symbiose, le 22 novembre dernier, pour soutenir la communication réalisée sur trois de ces projets : Apiluz, le parcours biodiversité de Berru et Qualit’Haie.

Apiluz a pour objectif de fournir aux pollinisateurs, notamment les abeilles, la ressource alimentaire qui leur manque pendant la saison de récolte des cultures (période de juin-juillet) en laissant des bandes de luzerne non fauchées de trois mètres de large lors de la première coupe. Ce projet est déployé à grande échelle depuis 2021 avec 2 400 agriculteurs impliqués, 1 700 km à 1 900 km de bandes de luzerne non fauchées chaque année sur six départements (dont les deux-tiers dans la Marne), près de vingt partenaires techniques et financiers. Les six coopératives de déshydratation de luzerne du territoire ont implanté 300 panneaux dans les champs aux abords des axes routiers et pédestres pour expliquer le projet au grand public. Suite aux échanges et retours positifs des habitants, le nombre de panneaux sera doublé en 2025.

Le parcours biodiversité de Berru, créé par Symbiose en février 2013, regroupe sur 20 ares les aménagements paysagers développés dans plusieurs projets pour favoriser la biodiversité : buisson, haie, bosquet, arbre fruitier. S’y ajoutent un hôtel à insectes et une ruche pédagogique. L’objectif est de développer la sensibilisation du grand public à cette biodiversité grâce à des panneaux explicatifs décrivant les intérêts environnementaux des aménagements.

Qualit’Haie a pour objectif de motiver des agriculteurs à planter des « haies à haute performance environnementale » grâce à l’alternance d’arbres de hauts jets et d’arbustes, complétés d’autres aménagements favorables à la biodiversité (agrainoirs, points d’eau, perchoirs…). Un cahier des charges spécifique est en cours de rédaction. Les coûts d’implantation, d’entretien et de perte de surface de production liée à la haie seront compensés par des financements d’entreprises privées (par exemple dans le cadre de leur démarche RSE). Pour sensibiliser le grand public à ce type d’aménagement et aux pratiques agro-écologiques des agriculteurs, des panneaux seront également implantés près de ces haies qualitatives. Hervé Lapie, président de Symbiose, a remercié la Fondation Crédit Agricole « pour son accompagnement et la valorisation des projets de l’association ».

À partir du 1er janvier 2025, les entreprises qui souhaitent s’installer sur la zone économique Evolis de Tergnier (Aisne), désormais baptisée Parc d’activités, vont devoir mettre davantage qu’auparavant la main à la poche En effet, ils devront payer 42,85 % de plus. Une augmentation que Jean Farez, vice-président du conseil communautaire qui s’est tenu ce 25 novembre 2024, a souhaité relativiser, ce dernier précisant que le coût de l’inflation entre 2005 et 2014 avait été de 38,8 %. Précisément, le prix des cessions va passer de 7 à 10 euros hors taxes le mètre carré. Le prix de 7 euros avait été déterminé en 2005 par rapport au coût d’aménagement de la zone mais de facto, vingt ans après, il fallait réévaluer ce prix. Un exemple de cette hausse ? Un branchement électrique coûte aujourd’hui 15 000 euros. Cette hausse devrait ainsi permettre de couvrir une partie des frais.

Diplômée de l’ISA de Lille, Hélène Van Hyfte travaille d’abord comme responsable qualité dans une coopérative agricole de la Somme avant de devenir agricultrice à Ollezy dans l’Aisne. Sociétaire du Crédit Agricole du Nord Est, jeune agricultrice avec une expérience coopérative, un profil qui amène le président de la Caisse locale de Flavy-Le-Martel, à lui proposer de devenir administratrice, en 2013, avant d’être élue présidente en 2019.

L’année suivante, l’Axonaise devient également membre du conseil d’administration de la Fondation d’Entreprise du Crédit Agricole du Nord Est. Après 4 ans comme administratrice de la Fondation, Hélène Van Hyfte en est élue présidente en octobre 2024. De nouvelles responsabilités pour cette mère de 3 adolescents, à la fois chef d’entreprise, à la tête d’une exploitation en polyculture et engagée dans la vie associative auprès de la caisse locale de Flavy-Le-Martel et de la Fondation d’Entreprise du Crédit Agricole du Nord Est.

À partir du 1er janvier 2025, les entreprises qui souhaitent s’installer sur la zone économique Evolis de Tergnier (Aisne), désormais baptisée Parc d’activités, vont devoir mettre davantage qu’auparavant la main à la poche.

En effet, ils devront payer 42,85 % de plus. Une augmentation que Jean Farez, vice-président du conseil communautaire qui s’est tenu ce 25 novembre 2024, a souhaité relativiser, ce dernier précisant que le coût de l’inflation entre 2005 et 2014 avait été de 38,8 %. Précisément, le prix des cessions va passer de 7 à 10 euros hors taxes le mètre carré. Le prix de 7 euros avait été déterminé en 2005 par rapport au coût d’aménagement de la zone mais de facto, vingt ans après, il fallait réévaluer ce prix. Un exemple de cette hausse ? Un branchement électrique coûte aujourd’hui 15 000 euros. Cette hausse devrait ainsi permettre de couvrir une partie des frais.

Pour toutes celles et ceux qui cherchent une façon de mobiliser leurs compétences pour contribuer au développement de leur territoire, tout en vivant une expérience humaine enrichissante auprès de créateurs d’entreprise locaux accompagnés par l’Adie Grand Est lance un appel à bénévoles à l’occasion de la Journée Internationale des bénévoles et des volontaires. 25 bénévoles sont activement recherchés dans la région Grand Est.

Une aventure solidaire…

Parce que de plus en plus de personnes en France ont envie de créer leur entreprise mais que beaucoup en sont encore empêchés par manque de moyens, de réseau ou d’informations ; l’Adie recherche des bénévoles afin d’accompagner les candidats dont les projets n’ont pas accès aux financements, dans la création de leur entreprise. Ces petits entrepreneurs locaux peuvent aussi bien être des commerçants sur les marchés, des créateurs de bijoux, des esthéticiens, des restaurateurs, des réparateurs de téléphones portables ou de machines à coudre, des agriculteurs, des tatoueurs, des chauffeurs VTC, des organisateurs d’événements…

Il n’y a pas de profil type…

Les profils des bénévoles recherchés sont très divers et il n’y a pas de profil type. Parce que la création d’entreprise fait appel à une grande variété de compétences, l’Adie accueille des bénévoles de toute expérience et savoir-faire. Rappelons qu’en 2023, l’Adie Grand Est a financé 1 326 personnes habitant la région pour un total de 7,17 M€ de microcrédits soit une hausse de +10% par rapport à 2023.

Pour devenir bénévole : nest@adie.org

Le spécialiste de l’isolation en laine de roche ROCKWOOL réaffirme son engagement en déposant un nouveau permis de construire pour son projet d’usine à Soissons. Ce projet sera le deuxième site de l’industriel en France. Un symbole fort pour l’industrie française et la transition écologique. Dans un contexte industriel difficile, marqué par des fermetures d’usines et des pertes d’emplois, ce projet revêt une importance particulière. La future usine d’isolants en laine de roche contribuera à la réindustrialisation Française en créant 130 emplois directs et plus de 400 emplois indirects, un apport précieux pour dynamiser l’économie locale et renforcer le tissu industriel de la région. Alors même que la France doit accélérer la rénovation énergétique de son parc immobilier et promouvoir la circularité dans le bâtiment, cette nouvelle unité de fabrication produira plus de 100 000 tonnes de laine de roche, un isolant thermo-acoustique résistant au feu et recyclable, fortement demandé en France.

Cette nouvelle usine s’appuiera sur une technologie de pointe de fusion électrique soutenue par l’ADEME dans le cadre des dispositifs de décarbonation de l’industrie du Plan « France Relance ». Le projet a déjà obtenu son autorisation environnementale et sanitaire. Son instruction par les autorités compétentes, notamment l’ARS et la DREAL, garantit le strict respect de toutes les normes sanitaires et environnementales. Ce nouveau permis de construire actualise celui déposé initialement en septembre 2019. Il intègre les dernières évolutions réglementaires et clarifie la compatibilité avec le Plan Local d’Urbanisme (PLU). Il inclut également un nouveau toit végétalisé améliorant son intégration dans l’environnement.

ROCKWOOL annonce rester "déterminé à avancer rapidement sur ce projet essentiel pour répondre aux besoins croissants en isolation, un pilier de la transition énergétique nationale". Cette nouvelle étape vient compléter les démarches précédentes : les recours juridiques engagés sur le premier permis de construire déposé restent en cours. “Nous souhaitons que cette nouvelle instruction soit l’occasion d’un dialogue apaisé et constructif. Nous poursuivons activement nos efforts pour garantir la réussite de ce projet ”, explique Rafael Rodriguez, président de ROCKWOOL France S.A.S.

En cette rentrée 2024, NEOMA Business School renforce son corps professoral avec l’arrivée de 25 nouveaux enseignants-chercheurs issus de 10 nationalités. Leurs expertises, alignées avec les Pôles d’excellence de l’Ecole, contribueront au développement de la recherche de NEOMA et à son impact. En parallèle, leurs qualités pédagogiques serviront l’expérience d’apprentissage des étudiants dans les différents programmes. Ce recrutement de profils académiques de haut-niveau souligne l’attractivité du projet stratégique de l’École ainsi que la reconnaissance de son excellence académique en France comme à l’international.

Tous titulaires d’un PhD, ces nouveaux professeurs sont répartis dans tous les départements académiques de l’Ecole et rejoignent un corps professoral qui compte désormais 210 professeurs permanents, représentant au total 40 nationalités. « Nous sommes ravis d’accueillir ces nouveaux enseignants-chercheurs, qui affichent des profils divers, allant de jeunes docteurs à des chercheurs expérimentés et reconnus », souligne Delphine Manceau, Directrice générale de NEOMA Business School. Ces recrutements seront un atout pour poursuivre la dynamique de croissance de la recherche au sein de l’institution, structurée autour de 4 Pôles d’excellence (The Future of Work, The World We Want, The Complexity Advantage, et AI, Data Science & Business). Le nombre d’articles de recherche publiés par la faculté de NEOMA a été multipliée par 2,5 en 5 ans, dont 86% dans des revues académiques internationales. « Riches de leurs expertises liées à nos Pôles d’excellence, ces nouveaux professeurs participeront au développement de la recherche produite au sein de NEOMA et au renforcement de son impact auprès des entreprises et de la société en général ».

Des travaux qui vont changer à long terme le visage du quartier de Rémicourt de Saint-Quentin et précisément, le 140 boulevard Gambetta, qui abrite l’immeuble blanc qui a accueilli un temps un magasin de vêtements. Juste derrière, se cache une vaste propriété qui donne sur la rue Richard-Lenoir et la rue de Nancy. Or, il s’agit aujourd’hui d’une friche industrielle, autrefois occupée par une usine de confection fondée en 1877 par Ernest Desfossez. On trouve également un bâtiment qui servait de logement patronal mais aussi une cité baptisée cité de Mulhouse, perpendiculaire à la rue du même nom.

Mais voilà qu’à la place de la friche industrielle, des logements collectifs vont être construits (les deux bâtiments précités resteront), à savoir trois immeubles comprenant au total 60 logements. Des immeubles de trois étages sont prévus dont l’un avec vue directe sur le parc des Champs-Élysées.

Le terrain avait été racheté par le Partenord Habitat. L’entreprise en charge de la démolition vient de prendre possession des lieux et va entamer la déconstruction, qui devrait se terminer en mars 2025. Partenord Habitat espère mettre les logements à disposition à la fin de l’année 2027.

La totalité des habitants de Barzy-en-Thiérache vont enfin pouvoir se servir de leurs smartphones : une antenne relais de 35 mètres a été érigée dans la commune pour assurer la couverture totale du réseau de téléphonie mobile. En effet, dans certaines zones de la commune, de nombreux usagers, faute d’antenne relais, regrettaient une très mauvaise voire même une absence totale de connexion. Exemple : dans la salle des fêtes, il est impossible d’appeler avec son portable.

Après avoir dressé un état des lieux de la situation en menant une enquête auprès de la population, le maire Pierre-Marie Tellier est intervenu auprès du conseil départemental pour une meilleure couverture. Un opérateur de téléphonie mobile a donc édifié la semaine du 25 novembre une antenne relais de 35 mètres de hauteur qui surplombe désormais la commune dans la rue des bords de Sambre, qui s’avérait être une zone blanche. La mise en service est attendue d’ici la fin de l’année 2024.

En rejetant la première partie du budget 2025, l’Assemblée nationale prive (provisoirement) les Ardennais d’une excellente nouvelle puisque le texte du Gouvernement entérinait, dans son article 27, la prolongation des dispositifs Bassin d’emploi à redynamiser jusqu’au 31 décembre 2027. À la fin de 2023, en lien avec les parlementaires Jean Luc Warsmann et Lionel Vuibert ainsi que Boris Ravignon avaient déjà obtenu de haute lutte de prolonger le BER sur l’ensemble de l’année 2024. Toutefois, il était alors prévu que le dispositif s’interrompe pour l’essentiel à la fin de l’année en cours.

Le BER permet aux entrepreneurs créant de l’activité, que ce soit sous la forme d’une nouvelle implantation ou celle de l’extension d’une entreprise existante, de bénéficier d’exonérations sociales et d’exonérations fiscales au titre de l’impôt sur les bénéfices, de la taxe foncière sur la propriété bâtie ou de la cotisation foncière d’entreprise. Selon Boris Ravignon, « l’avantage pour les entreprises ardennaises s’élève à environ 30 millions d’euros par an ». C’est pourquoi le président d’Ardenne Métropole espère que le Sénat pourra « rectifier le tir » en permettant ainsi à ce dispositif qui reconnaît la spécificité du territoire des Ardennes de pouvoir être prolongé de trois années supplémentaires. Rappelons qu’il n’existe que deux BER sur le territoire national : l’un concerne la région de Lavelanet, en Ariège, l’autre la vallée de la Meuse, dont l’intégralité du territoire carolomacérien.

BayWa r.e., spécialiste des énergies renouvelables, a obtenu toutes les autorisations administratives pour un projet bi-énergies, éolien-solaire. Pour la première fois en France, éolien et solaire ont fait l’objet d’une étude d’impact et d’une enquête publique communes.

BayWa r.e. développe depuis 2018 un projet éolien-solaire sur le territoire des communes de Loisy-sur-Marne et Maisons-en-Champagne dans la Marne (51). Les demandes d’autorisation, déposées en préfecture en juin 2020, ont été accordées dès 2022 pour la partie photovoltaïque et en juillet 2024 pour le parc éolien. En attente de raccordement, le projet pourrait entrer en service en 2029.

Un parc solaire de 30 hectares (47 000 panneaux) générera environ 35 000 MWh par an. Quatre éoliennes d’une puissance unitaire de 4,5 MW, d’une hauteur en bout de pale de 180 m, ont été autorisées au nord du parc photovoltaïque, sur le territoire des communes de Loisy-sur-Marne et Maisons-en-Champagne. D’une capacité totale de 18 MW, elles produiront environ 40 000 MWh chaque année.

D’une puissance cumulée de 48 MW, le parc éolien-solaire pourra produire près de 75 GWh par an, soit l’équivalent de la consommation domestique d’environ 16 500 foyers (chauffage inclus).

Christophe Vandaele, directeur régional de l’Afpaet Sebastien Pampanay, directeur du centre Afpa de Laon inaugurent le Village des solutions de Laon le jeudi 28 novembre en présence du parrain du Village Jérôme THOMAS, boxeur français double médaillé olympique et parrain du village sur la thématique « santé : prévention des addictions ». Bien plus qu’un simple lieu physique, le Village des solutions est un écosystème dynamique, sous forme de tiers-lieu, où cohabitent des partenaires issus du domaine de l’insertion, de la formation, de l’emploi, des entreprises, des collectivités et des associations. Ensemble, ils oeuvrent pour accompagner les parcours professionnels et les parcours de vie des publics : Accueil des partenaires et le travail en réseau, réponse la plus adaptée aux publics, en matière d’emploi et de formation, mais aussi de mobilité, de santé, etc. et proposition de lieux physiques de rencontre pour assurer l’accueil ides publics et apporter les solutions adéquates à chacun. Objectif : aider à la levée des freins des publics les plus fragiles.