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Association à but non lucratif, la Coordination des œuvres sociales et médicales (Cosem) est dans la tourmente depuis que les élus du personnel ont dénoncé à la justice les agissements de leur direction.

La Cosem venait d’achever les travaux d’un nouveau centre de santé à Saint-Quentin, idéalement situé sur la Place de l’Hôtel de Ville.

La Cosem compte aujourd’hui 16 centres médicaux en fonctionnement, dont 8 à Paris et 1 à Amiens (Somme). Elle y pratique les honoraires de base de l’Assurance maladie, dits « de secteur 1 ».

Elle a été fondée en 1945 par un médecin résistant dans le but de rendre la médecine accessible à tous.

Bien loin de cet idéal, son directeur actuel, Didier Dimermanas, est accusé de diverses malversations financières, dont des salaires exorbitants, des notes de frais injustifiables et des emplois fictifs au profit de sa famille.

L’affaire a surgi après qu’il a refusé une légère augmentation du ticket restaurant, à 7 € depuis des années, sous prétexte des « soucis financiers » de la Cosem. Les élus ont alors exigé les comptes de l’association et découvert l’ampleur des détournements.

Main basse sur les immeubles

Le directeur et ses deux fils sont apparemment allés encore plus loin. Ils ont racheté à la Cosem, pour 26 millions d’euros, la filiale détentrice de ses immeubles, dont certains au centre de Paris. Ils l’ont fait sans débourser un centime…

La Cosem a gentiment accordé aux acquéreurs un crédit vendeur et ne sera payée que dans 10 ans, sans avoir exigé la moindre garantie. En attendant, elle paye des loyers aux heureux nouveaux propriétaires. Le directeur n’a pas donné la moindre explication de ses faits et gestes, les réservant à la justice. Le centre Cosem de Saint-Quentin est certes prêt à fonctionner, mais on n’y a vu ni médecin ni professionnel de santé et aucun ne semble près d’y venir exercer.

Face à la désinformation massive, l’Union européenne a publié sa première stratégie spatiale pour la défense et la sécurité et a ainsi rejoint la guerre des étoiles. Alors que les États-Unis, la Chine, la Russie et la France disposent d’une telle stratégie et d’un commandement spatial depuis longtemps, l’Union européenne n’en est pas encore là.

Pourtant, de nombreux programmes spatiaux ont déjà été mis en place sur le continent, qu’il s’agisse de Galileo, le système européen de géolocalisation, ou de Copernicus, une constellation de satellites d’observation.

La stratégie vise à mettre les 27 États membres de l’Union européenne sur le même pied d’engagement concernant la défense spatiale. En effet, depuis une quinzaine d’années l’espace est considéré comme une zone de conflit, avec des menaces telles que la destruction et l’espionnage de satellites ou les actions hostiles visant à bloquer toute communication et la saisie de satellites. Certains Etats n’ont d’ailleurs pas hésité à user de la force pour espionner ou détruire des satellites étrangers.

Encore très peu de pays sont capables de surveiller précisément l’espace et de se protéger efficacement. Les États les plus avancés tels que les États-Unis, la Chine, la Russie, la France et l’Allemagne disposent quant à eux de moyens techniques et de contingents importants affectés à cette tâche.

Dans ce contexte conflictuel, Bruxelles cherche à mutualiser les données des divers États membres afin de détecter les menaces à venir et leur origine. Cependant, la création d’un commandement de l’espace européen reste prématurée, car il faut pouvoir collecter suffisamment de données de surveillance en temps réel, ce qui n’est pas encore possible avec les moyens actuels. Toutefois, en cas d’agression armé sur les satellites européens, l’Union européenne prévoit une assistance mutuelle entre les États membres.

Au-delà d’une meilleure surveillance spatiale, l’Union européenne a pour objectif de présenter un règlement sur l’espace d’ici l’année 2024. Dans une tentative d’harmoniser les règles européennes, le texte portera sur des standards communs de sécurité, de sûreté ou de développement durable, concernant à la fois l’activité dans l’espace, mais également au sein de l’industrie spatiale.

Alors que l’Europe se prépare à affronter les menaces dans l’espace, la publication de cette stratégie est une étape importante pour la construction d’une défense européenne commune. Malheureusement, cet ambitieux projet risque d’être freiné par l’absence de fusée européenne et le retard accumulé pour le lancement de nouvelles.

L’AFIM Champagne-Ardenne, en partenariat avec la CCI organise la 5ème Rencontre de la Maintenance et de la Performance : Forum IOT (Internet of Things) Immersion à 360 ° le 8 juin 2023.

La journée débutera à 13h30 par l’ouverture du forum par Caroline FROISSART, Présidente AFIM Champagne-Ardenne, et se poursuivra avec les conférences suivantes :

• Comment monter en compétences sur l’IOT avec Michaël OUDIN de l’IOT Academy - Pôle formation UIMM.

• Utilisation de l’IOT dans le secteur de l’efficience énergétique avec Julien HOFFMANN de l’EPF.

• Moyen de transmission de données sur l’IOT avec Delphine MIFSUD de DISTRAM.

• Cybersécurité et IOT avec Romain PETIT de St Jean Baptiste.

• Maintenance de l’IOT.

• Retour d’expériences de l’IOT dans la maintenance.

L’événement aura lieu le jeudi 8 juin 2023 à partir de 13h00 au Lycée Saint-Jean-Baptiste de La Salle, 20 rue de Contrai, 51100 REIMS. La journée se terminera à 18h45.

La délégation Champagne-Ardenne de la Fondation du Patrimoine organise du 15 mai 2023 au 30 juin 2023 inclus, un jeu-concours photo sur le thème « Errance bucolique, le Champenois derrière l’objectif ».

Ce concours photographique a pour objectif de récompenser les trois plus beaux clichés qui mettent en valeur le patrimoine de la Champagne, paysage et bâti dans sa plus grande diversité. Le concours est ouvert à toutes et à tous. La participation est gratuite et sans obligation d’achat.

Les participants devront envoyer entre le 15 mai 2023 et le 30 juin 2023 par mail à l’adresse suivante : nils.mouquet@fondation-patrimoine.org une photographie prise par leur soin d’un élément architectural, patrimonial, culturel ou naturel, connu ou inconnu, protégé ou non, se trouvant sur le territoire Champenois. La participation est nominative et un même participant ne peut en aucun cas participer sous plusieurs pseudonymes ou pour le compte d’autres participants.

Une seule participation par personne (même nom, même prénom, même adresse électronique) et par foyer (même adresse postale) est acceptée par l’organisateur.

Agronutris et BioMar ont signé un partenariat de long-terme pour le développement d’une nouvelle génération d’aliments à base de mouches soldat noires, spécialement conçue pour répondre aux besoins de l’industrie aquacole.

Après des années de R&D, l’insecte est désormais reconnu comme un nouvel ingrédient prometteur, en voie d’être largement adopté. Une large gamme de farines d’insectes destinées à l’aquaculture fait donc son apparition sur le marché.

« L’alimentation à base de mouches soldat noires est considérée comme une perspective intéressante au regard des besoins de l’aquaculture. En Agronutris, nous avons trouvé un partenaire qui partage notre volonté de réduire les impacts environnementaux de l’alimentation en aquaculture. Ils ont développé un modèle industriel permettant à la mouche soldat noire de répondre aux besoins nutritionnels et aux enjeux de durabilité qui figurent dans notre cahier des charges et celui de notre industrie », explique Fernando Norambuena, Global Category Manager – Novel Raw Materials chez BioMar.

Avec une attention particulière portée à ses approvisionnements en matières premières combinée à douze années de R&D et des investissements importants dans l’industrialisation de ses process, la solution d’Agronutris offre un produit à la fois stable, de haute-qualité et avec, comme en atteste l’analyse du cycle de vie effectuée par l’entreprise, un faible impact environnemental.

Agronutris a su développer une vision singulière pour amener cette nouvelle source de protéines vers un ingrédient s’inscrivant pleinement dans l’économie circulaire et qui répond de manière pertinente aux besoins de l’aquaculture.

Fabriqué en vitrocéramique, Versâtis est à la fois un plan de cuisson et un plan de travail, fruit d’années de recherches et de mises au point. Il vient de recevoir le Grand prix de bronze de l’innovation, à la Foire de Paris 2023.

Cette distinction et celles déjà reçues récompensent les compétences et la maîtrise des techniciens de l’établissement de Chierry, commune voisine de Château-Thierry, l’un des deux plus importantes d’Eurokera.

Matot-Braine avait salué, il y a un an, la prouesse technique réalisée par cette filiale de Saint-Gobain et de l’américain Corning.

Elle a réussi, en 30 ans, à s’imposer comme un leader mondial de la vitrocéramique, qui permet notamment de fabriquer des plaques de cuisson à induction. Versâtis relève le défi de fusionner la table de cuisson et le plan de travail.

Equipement haut-de gamme, diablement pratique et séduisant, il a permis à son fabricant de renouer avec le succès après le coup de frein du covid.

Un ambassadeur et des prix

D’emblée, Versâtis, « synthèse du beau et de la performance », a récolté le grand prix Stratégies du design en 2020, puis celui de l’innovation du Sadecc, salon de la cuisine équipée, en 2021.

Il a aussi séduit Arnaud Lallement, chef triplement étoilé de L’Assiette Champenoise à Tinqueux, qui a bien voulu se faire son « ambassadeur ». Les 350 salariés de l’usine de Chierry, épaulés par une centaine d’intérimaires, ont du pain sur la planche.

Papote, marque de pâtes artisanales françaises, basée à Sézanne (51) ouvre une fois par an ses portes et crée un événement à son image, convivial et en prise directe avec le grand public. Cet évenement se déroulera le dimanche 14 mai à la Ferme des Grandes Tuileries à Sézanne.

• Pour faire vivre une alimentation de qualité et de proximité, Papote et ses confrères producteurs proposeront un repas local, en provenance de fermes situées dans un périmètre de 30 km. Une dizaine de producteurs seront réunis toute la journée autour d’un marché pour vous raconter leurs métiers et proposer leurs produits. Parmi les producteurs présents : Papote, Le Mignon, Les Vergers de Saint-Pierre, Champagne V&G Dupont, Bière la Gaultoise, Miel d’Hector et Paul, la distillerie de la Forge...

Fidèle à son envie de transmettre, l’équipe Papote organise la découverte de sa production sous différents formats : une séance de visionnage avec un film explicatif, un circuit de visite avec des questions et également des visites commentées de l’atelier de fabrication.

• Au départ de la ferme à 10h30, les randonneurs pourront faire une boucle d’environ 8 km et découvrir des panneaux ludiques et explicatifs lorsqu’ils longeront les champs de la ferme des Grandes Tuileries. Informations sur le programme du 14 mai : https://papote-pates.fr/marche-fete-papote-14-mai/

Le sous-préfet de Nogent-sur-Seine, Franck Moinardeau, a rejoint le Cher pour y occuper ses nouvelles fonctions de directeur de cabinet du préfet.

Il est remplacé à son poste dans l’Aube par Aurélie Contrecivile qui sera officiellement installée dans ses nouvelles fonctions de sous-préfète de l’arrondissement de Nogent-sur-Seine le 2 mai.

Formée à l’Institut Régional d’Administration de Metz et en administration publique à l’Institut de préparation à l’administration générale de l’université de Strasbourg, elle occupait depuis 2020, le poste de directrice des services du cabinet du préfet de la Haute-Saône.

Elle connaît bien le Grand Est pour y avoir exercé ses précédentes fonctions, en tant que cheffe du service de la communication interministérielle à préfecture de la région Grand Est et du Bas-Rhin.

Elle a débuté sa carrière à la préfecture du Bas-Rhin, d’abord en tant que cheffe de section prévention-sécurité au cabinet du préfet puis cheffe du bureau du cabinet du préfet et enfin cheffe du bureau de l’asile et de l’éloignement.

Les 4 et 5 Mai, la FDSEA 51 et ses partenaires santé Agrica Prévoyance, Harmonie Mutuelle, la MSA et Vital Campus invitent les agriculteurs, les viticulteurs et leurs salariés à participer à l’Agri Tour Santé Marne 2023.

Se déroulant en 2 journées, l’événement servira à inciter les personnes à préserver leur santé.

Le programme inclut une conférence sur l’hygiène de vie et des ateliers pratiques sur des thématiques variées : alimentation, activités physiques, bilan « mon capital santé », chute de hauteur, addictions, prévention des risques, DUERP.

Le 4 mai :

• Sézanne : de 8h30 à 10h30 et de 10h30 à 12h30 - Salle Rez de Parvis

• Vitry-le-François : de 14h30 à 16h30 et de 16h30 à 18h30 - Antenne FDSEA

Le 5 mai :

• Cuperly : de 8h30 à 10h30 et de 10h30 à 12h30 - Salle des fêtes

• Reims : de 14h30 à 16h30 et de 16h30 à 18h30 - Maison des agriculteurs.

Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur ce lien : https://bit.ly/3FN8Mw2.

Dans les communes de plus de 200 000 habitants, le changement d’usage d’un logement est soumis à l’autorisation du maire.

Il en est ainsi lorsqu’un logement est loué en meublé à des fins touristiques (locations répétées pour de courtes durées à une clientèle de passage n’y élisant pas domicile – Code de la construction, article L 631-7). Le changement d’usage non autorisé est passible d’une amende civile de 50 000 euros maximum.

• Dans cette affaire, le propriétaire et le locataire ont été tous les deux condamnés à une amende civile de 50 000 euros pour avoir changé sans autorisation l’usage d’un local d’habitation en le louant à des fins touristiques.

Le locataire contestait la condamnation en faisant valoir que son contrat de location l’autorisait à sous-louer le local à des fins touristiques.

Il soulignait que la demande d’autorisation de changement d’usage incombe au propriétaire qui ne peut s’en décharger sur le locataire par une clause du bail. De même, le propriétaire engage sa responsabilité s’il autorise le locataire à sous-louer à un autre usage que l’habitation sans avoir obtenu l’autorisation.

• La Cour de cassation le déboute. Elle s’en tient à l’article L 651-2 du Code de la construction qui vise « toute personne qui enfreint la réglementation sur le changement d’usage des locaux d’habitation ». Le locataire aurait dû s’assurer de l’autorisation de changement d’usage, la clause du bail ne pouvant l’exonérer de sa responsabilité.

Cass. 3e ch. civ. 15 février 2023 n° 22-10.187

Pour un montant de 6 millions d’euros financé par le Département et soutenu par l’État au titre de la Dotation de soutien à l’investissement des départements (DSID) à hauteur de 1,3 million d’euros la Circonscription de la solidarité départementale (CSD) du quartier Europe à Reims fait l’objet d’une reconstruction complète. Commencés en janvier 2023, les travaux doivent s’achever d’ici le mois de juillet 2024.

Plus vastes, mieux adaptés à l’accueil des usagers, plus fonctionnels pour les agents y travaillant au quotidien : ces nouveaux locaux seront situés au 129 avenue de l’Yser (au lieu du 144 boulevard Pommery actuellement) juste en face du site rémois des Archives départementales de la Marne.

Mené par le cabinet P+S SARL d’architecture de Reims, ce projet va bénéficier à 42 agents du Département, dont 12 agents de la Cellule départementale de Recueil des Informations Préoccupantes (CRIP).

Avec une isolation renforcée, des toitures végétalisées, une production de chaleur réalisée par une chaufferie bois et la mise en place de panneaux photovoltaïques, cette opération s’inscrit également dans une démarche de performance énergétique et d’optimisation de la maîtrise des coûts de fonctionnement.

La XVIIe édition des Journées Marteau des commissaires-priseurs se déroulera partout en France, les vendredi 12, samedi 13 et dimanche 14 mai 2023, à l’initiative du SYMEV - Syndicat National des Maisons de Ventes Volontaires.

Les Journées Marteau des commissaires-priseurs permettent, chaque année, aux néophytes et aux connaisseurs de faire gracieusement expertiser et estimer leurs objets, bijoux ou encore œuvres d’art.

Dans le cadre des Journées Marteau 2023, le SYMEVorganise les Journées Nationales de l’Expertise, afin de promouvoir le métier de commissaire-priseur et les ventes aux enchères publiques.

Rendez-vous incontournable des maisons de ventes volontaires avec les curieux et amateurs, les Journées Marteau invitent également les publics à de nombreux événements orchestrés par les commissaires-priseurs : expositions, ventes thématiques, visites guidées, nocturnes, conférences, dédicaces, ateliers interactifs et ludiques ou encore escape game et chasses aux trésors… L’occasion de découvrir le monde passionnant des enchères.

A Reims (51)

Dans le cadre des Journées Marteau, CHATIVESLE propose une journée d’expertises gratuites le samedi 13 mai de 9 h à 17 h. Ce rendez-vous regroupe tous les domaines de spécialités. 49 rue Gosset – Reims

A Chaumont (52)

Dans le cadre des Journées Marteau, l’HÔTEL DES VENTES DE LA HAUTE MARNE propose deux journées d’expertises gratuites les vendredi 12 mai et samedi 13 mai 2023.
3 bis boulevard Thiers – Chaumont

Hannelore Chamaux-Rima a été nommée au poste de Directrice Générale de Champagne Castelnau le 17 avril 2023. Ingénieur lnsa Lyon en Génie Physique des Matériaux et Master Spécialisé HEC, Hannelore Chamaux-Rima a une expérience confirmée des Maisons de Champagne et des instances professionnelles de l’Appellation.

Elle a notamment assuré diverses responsabilités au sein de Champagne Taittinger et Champagne Cattier, ainsi qu’au Comité Champagne en tant que Directrice du pôle aval et plus récemment au sein du Syndicat Général des Vignerons.

Elle prend son poste à la Direction Générale de Champagne Castelnau pour piloter la relance de la marque Castelnau, prévue au second semestre, et diriger l’activité du site de production de la rue Gosset à Reims.

Hannelore Chamaux-Rima rejoint ainsi son Comité Exécutif aux côtés des autres Directeurs Généraux du Groupe Terroirs & Vignerons de Champagne : Marie Gicquel pour Champagne Abelé 1757 et Stéphane Decaux, en charge des Partenariats. Christophe Juarez conserve la responsabilité de Champagne Nicolas Feuillatte.

Lancée il y a 18 mois, Made in Marne rassemble plus de 76 porteurs de la marque et plus de 250 produits et gammes. L’objectif du label est d’identifier les productions et savoir-faire valorisant la Marne et ceux qui s’investissent pour une consommation plus éthique et responsable.

Lors du comité d’agrément du vendredi 14 avril, les représentants du territoire tels que le département de la Marne de la Chambre d’Agriculture, de la Chambre de Commerce et d’Industrie, de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, de l’Agence de Développement Touristique, du Parc Naturel Régional de la Montagne de Reims et de Marne Développement ont attribué la marque Made in Marne aux produits et savoir-faire de 10 nouveaux ambassadeurs.

Le comité d’agrément reste néanmoins exigeant dans sa sélection avec les critères de la charte d’agrément et a ajourné quatre dossiers et en a rejeté deux.

Si vous souhaitez découvrir ces produits, vous pouvez les retrouver au « marché des producteurs et de l’artisanat » le dimanche 7 mai à l’Abbaye de Trois-Fontaines de 9h à 18h.

Pour un montant de 6 M€, financé par le Département et soutenu par l’État au titre de la Dotation de soutien à l’investissement des départements (DSID) à hauteur de 1,3 M€, la Circonscription de la solidarité départementale (CSD) du quartier Europe à Reims fait l’objet d’une reconstruction complète.

Bâtiment peu identifié devenu trop exigu, problème d’accessibilité : les élus de l’assemblée départementale ont voté la reconstruction de la CSD Europe. Commencés en janvier 2023, les travaux doivent s’achever d’ici le mois de juillet 2024.

Plus vastes, mieux adaptés à l’accueil des usagers, plus fonctionnels pour les agents y travaillant au quotidien : ces nouveaux locaux seront situés au 129 avenue de l’Yser (au lieu du 144 boulevard Pommery actuellement) juste en face du site rémois des Archives départementales de la Marne.
Mené par le cabinet P+S SARL d’architecture de Reims, ce projet va bénéficier à 42 agents du Département, dont 12 agents de la Cellule départementale de recueil des informations préoccupantes (CRIP).

« D’une surface de 1 500 m2, avec un espace co-working au 2e étage, l’objectif est de proposer un lieu agréable et fonctionnel qui privilégie une pluralité d’ambiances et de typologies conçue à l’échelle de ses utilisateurs. Le but étant de donner au bâtiment une image attractive et conviviale et d’éviter de véhiculer une image trop austère de bâtiments de bureaux », indique l’architecte Fabien Pace en charge du projet.

Avec une isolation renforcée, des toitures végétalisées, une production de chaleur réalisée par une chaufferie bois et la mise en place de panneaux photovoltaïques : cette opération s’inscrit également dans une démarche de performance énergétique et d’optimisation de la maîtrise des coûts de fonctionnement.