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OPTACARE en STOCK sur la centrale d’achat hospitalier RESAH

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La startup OPTACARE incubée à la Technopole de l’Aube annonce avoir remporté l’appel à projets pour le référencement de son logiciel STOCK dans la centrale d’achat RESAH. La solution d’OPTACARE permet aux établissements de santé et aux hôpitaux d’optimiser la gestion de leur approvisionnement et de leur pharmacie en s’appuyant sur des algorithmes, sur l’historique et sur la prédiction pour éviter les ruptures, le gaspillage ou les commandes isolées en urgence. « L’hôpital de Strasbourg, utilisateur de STOCK annonce un retour sur investissement d’un million d’euros d’économies en un an », souligne Aurélie Martin, directrice générale de la société créée par Hicham Chehade. Lauréate du marché public RESAH, OPTACARE va bénéficier de l’effet levier de la centrale qui compte 4 000 bénéficiaires et génère 3,2 milliards d’achats mutualisés. OPTACARE, qui accompagne une quinzaine d’établissements hospitaliers en France, entend bien doubler ce ratio en un an.

Saint-Quentin : plus de 400 nouveaux logements en construction ou à venir

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De nouveaux logements, partout, pour tous. Alors que les travaux d’envergure transforment le quartier Europe, d’autres sites de Saint-Quentin accueillent eux aussi des projets ambitieux destinés à répondre à la demande croissante en logements diversifiés : familles, étudiants, jeunes couples ou seniors. Non loin du centre-ville, rue de Caulaincourt, deux immenses grues dessinent déjà les contours d’un futur immeuble de 86 logements, du T2 au T5. Ce vaste terrain de 6 000 m² sera prêt pour la rentrée 2026.

Autre ambiance, autre quartier : dans le faubourg d’Isle, un ancien entrepôt a laissé place à une petite résidence de 11 logements. Porté par le bailleur Partenord pour un budget de 2,6 millions d’euros, ce projet doit voir le jour au premier trimestre 2026.

Dans l’écoquartier Maréchal-Juin, l’heure est aux finitions. Une résidence pour étudiants de 83 places s’apprête à ouvrir ses portes à la rentrée. L’aménagement intérieur est en cours, et l’ambiance se fait studieuse… côté ouvriers comme côté futurs locataires !

D’autres projets ont déjà obtenu leur permis de construire. Parmi eux, la cité Billion, qui s’apprête à vivre une grande réhabilitation. Dans le quartier Europe, rue Laplace, un immeuble démoli il y a plus de dix ans fera bientôt place à 24 maisons individuelles, toujours sous la houlette de Partenord. Ce bailleur social prévoit aussi un nouvel ensemble de 60 logements boulevard Gambetta.

Le projet le plus ambitieux est situé chemin d’Harly : pas moins de 182 logements, dont 120 collectifs et 62 maisons individuelles, seront construits sur 27 000 m². L’opération, pilotée par l’Opal, représente un investissement de 18 millions d’euros.

Enfin, en sortie de ville, dans le quartier d’OEstres, 55 pavillons sont en train d’être installés sur une parcelle située entre la rue Pierre Louis-Gosseux et la rue du Pont. Les travaux de voirie ont déjà commencé.

Entente sur les prix des camions : l’Aisne réclame près d’un million d’euros

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Presque dix ans après une amende record infligée à plusieurs constructeurs de camions, les conséquences judiciaires continuent de se faire sentir en France. Cette fois, ce sont deux préfectures, celles de l’Aisne et de l’Oise, qui tentent de faire valoir leur droit à indemnisation devant le tribunal administratif d’Amiens. Mais leur dossier, jugé trop léger, pourrait ne pas résister à l’examen.

Tout part d’une affaire jugée en 2016 par la Commission européenne. Celle-ci avait sanctionné lourdement dix-huit constructeurs, parmi lesquels Volvo-Renault, Iveco, Daimler ou encore MAN, pour entente illicite sur les prix des camions vendus entre 1997 et 2011. Résultat : une amende historique de 3,8 milliards d’euros. De nombreuses entreprises de transport s’étaient alors lancées dans des actions en justice pour obtenir réparation. Les services de l’État ont suivi le mouvement.

Ce 4 juin 2025, c’était au tour des préfectures picardes de défendre leur dossier. L’Aisne réclame 951 000 euros, l’Oise 35 700 euros, estimant avoir payé leurs véhicules plus cher à cause de cette entente frauduleuse. À elles deux, elles évoquent l’achat de près de 50 camions entre 2006 et 2007.

Mais selon le rapporteur public, leurs requêtes manquent de fondements concrets. Aucune facture, aucun bon de commande, aucun document officiel ne vient étayer leurs affirmations. Juste un tableau chiffré et un article de presse évoquant un éventuel surcoût de 20 %. Un avocat de la défense s’est d’ailleurs empressé de souligner ce manque de rigueur, accusant les préfectures d’utiliser des modèles de requêtes « tout prêts ».

Séverine Vernet confirmée à la tête du conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts

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Séverine Vernet (Crédits : DR)

Séverine Vernet a été confirmée à l’unanimité comme Présidente du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres experts (OGE), à l’issue d’un vote de l’instance réunie le lundi 16 juin. Présidente par intérim depuis mars 2024, et première femme à occuper durablement cette fonction, Séverine Vernet poursuit son engagement à la tête de l’Ordre avec le soutien renouvelé de l’ensemble de ses pairs. Elle a présenté les trois grandes priorités qui guideront son mandat jusqu’en 2027. Réformer la gouvernance de l’Ordre et faire adopter un nouveau plan stratégique, plus agile, plus inclusif et résolument tourné vers la prise en compte des enjeux environnementaux comme sociétaux. Déployer opérationnellement la compliance et révéler une raison d’être ambitieuse pour la profession et pour l’Ordre. Renforcer l’expertise des géomètres experts face aux défis climatiques, environnementaux, économiques, numériques et sociétaux, afin d’amplifier leur rôle dans la fabrique des territoires.

Remise de diplômes des promotions 2024 du Campus Eductive Reims

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La cérémonie de remise de diplômes des promotions 2024 du Campus Eductive Reims a eu lieu ce samedi 7 juin, dans les locaux mythiques du Cirque du Manège de Reims. Dans un décor inspiré de l’univers du cirque, les diplômés, les familles et les équipes pédagogiques avec la présence de Valéry GISSAT, parrain des promotions 2024-2025, se sont réunis pour célébrer une étape fondatrice : la fin d’un parcours académique, et leur entrée dans la vie active.

Les étudiants diplômés de BTS, Bachelor et Mastère des écoles ESUPCOM, PPA Business School, PPA SPORT, ESGI, EFAB, EFET Créa et Maestris BTS rejoignent désormais la communauté des Alumni SKOLAE, réseau actif de professionnels engagés. Le Campus Eductive Reims fait partie du réseau SKOLAE, 3e acteur de l’enseignement supérieur privé en France.

Prochaine Journée Portes Ouvertes du Campus Eductive Reims : Samedi 19 juillet 2025, de 14h à 17h, au 12, rue de la Petite Vitesse à Reims.

L’Association des méthaniseurs des Hauts-deFrance signe une convention de partenariat avec 3 Caisses régionales du Crédit Agricole

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Alors que les premières unités en cogénération datent du début des années 2000 et la première en injection de 2011, la France en compte aujourd’hui plus de 1 400 dont 800 en injection. Ces chiffres montrent qu’en 25 ans et même en moins de 15 ans pour l’injection, cette nouvelle source de production d’énergie renouvelable a réussi à trouver sa place au sein des exploitations. Le biogaz fait partie des solutions qui vont permettre à la France d’atteindre son objectif de ne plus recourir au gaz naturel fossile en 2050. En produisant une énergie décarbonée au plus près du consommateur, l’exploitant valorise ses résidus de culture et ses effluents d’élevages tout en générant des revenus additionnels et en contribuant à la souveraineté énergétique.

Depuis 140 ans le Crédit Agricole accompagne les agriculteurs dans toutes les grandes transitions et notamment dans leur nouveau métier d’énergiculteur. Dans la région Hauts-de-France, les 3 Caisses régionales du Crédit Agricole de Brie-Picardie, Nord de France et du Nord Est sont les financeurs de plus de 130 unités de méthanisation. Une expertise qui a amené l’association des Méthaniseurs de la région Hauts-de-France à proposer aux 3 Caisses régionales du Crédit Agricole la signature d’une convention de partenariat pour travailler ensemble au développement de la filière. Convention qui vient d’être signée lors de la 1re édition du salon Innov-Agri Hauts-de-France le 4 juin à Essigny-le-Grand (Aisne).

En parallèle un partenariat avec le réseau Cerfrance apporte une complémentarité entre les approches comptables et bancaires. Le souhait de l’association des Méthaniseurs de Hauts-de-France est d’associer les expertises pour faciliter la concrétisation de projets dans une période de regain d’attractivité.

En effet, depuis un an, la filière connaît une nouvelle dynamique liée à une diversification des mécanismes de soutien, qu’il s’agisse :
* des tarifs de rachats qui redonnent de la perspective ;
* des certificats de production de biogaz (CPB) pour les plus grosses unités, ou celles qui veulent passer de la cogénération à l’injection ;
* de l’incitation des fournisseurs d’énergie à fournir une part de gaz vert dans leur offre commercialisée pour le chauffage.

D’ici 2030, un agriculteur sur deux pourrait devenir énergiculteur.

Mélanie Villiers nommée directrice régionale Grand Est de la Banque des Territoires

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Mélanie Villiers est diplômée de l’IEP de Strasbourg et ancienne élève de l’École nationale d’administration (ENA, promotion « Simone Veil », 2004-2006). Après trois années à la direction générale des collectivités territoriales (DGCL), elle effectue sa mobilité à la Cour des Comptes (4e chambre – secteur justice), puis rejoint la préfecture de Paris et d’Île de France, en tant que cheffe de cabinet du préfet de région (2010-2012). Elle exerce ensuite les fonctions d’experte nationale détachée à la Commission européenne au sein de la direction générale REGIO. De retour en France, elle est nommée directrice de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine en janvier 2016. En mai 2017, elle rejoint le cabinet du Premier Ministre Édouard Philippe, en qualité de conseillère technique Collectivités territoriales et aménagement du territoire. Elle intègre le Conseil d’État en juillet 2019. Rapporteure à la 7e chambre de la section du contentieux (marchés publics, personnels militaires…), puis à la section de l’intérieur, elle a exercé, ces dernières années, les fonctions de rapporteure générale adjointe à la section des études, de la prospective et de coopération. Cette nomination prend effet le 1er juillet 2025.

Philippe Pichery, entre valeurs et méthode ingénieur

Collectivités
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Photo de Philippe Pichery
Philippe Pichery (Crédits : DR)

Le président du Conseil départemental de l’Aube reçoit l’insigne de chevalier dans l’ordre national du Mérite. « La vie nous offre des opportunités, notamment, notamment celle de se trouver au bon endroit et au bon moment il ne tient qu’à nous de la saisir ». Lors de la cérémonie qui l’élève au rang de chevalier d’honneur dans l’ordre national du Mérite, Philippe Pichery, président du Conseil départemental de l’Aube, reste humble et associe ses collaborateurs et partenaires à cette distinction qui reconnait 48 ans en faveur du service public. Se laissant submerger par l’émotion quand Philippe Adnot, sénateur honoraire, ancien président du Conseil général de l’Aube et chevalier de la Légion d’honneur, souligne une vie dévouée à l’intérêt général, l’ingénieur du bâtiment et des travaux publics évoque « la reconnaissance d’une action dans la vie publique et d’actions collectives » avec une ligne de conduite basées sur des valeurs. « Je crois fondamentalement que les valeurs que nous donnent nos parents sont essentielles pour construire notre vie. Celles que mes parents m’ont inculquées sont toujours ma référence aujourd’hui ».

Nommé par le Ministères des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et des hommes, Philippe Pichery pense ainsi aux nouvelles générations et notamment celles privées de repères et de parentalité. Il se dit contrarié par le nombre d’enfants en danger, 1 000 dans l’Aube, soustraits de leur famille et confiés aux services du Département. Pourtant, il reste pourtant en « cette jeunesse qui appréhende les questions qui se posent à nous de façon différente et qui est toujours recherche de sens dans ce qu’elle fait. Je suis confiant et j’espère que cela fera émerger des vocations. J’en parle souvent en famille avec mes enfants et petits-enfants, chacune et chacun doit prendre ses responsabilités dans la société ».

Après le sauvetage de l’ADMR de l’Aube qu’il a dupliqué dans trois autres départements, Philippe Pichery est, entre autres, membre de l’Union nationale de l’ADMR et vice-président de la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie. « Je n’ai eu que des années de bonheur à travailler avec lui », poursuit Philippe Adnot à qui Philippe Pichery a succédé au département, saluant l’efficacité de l’homme à la méthode ingénieur et sa capacité à réaliser.

Appel à projets de la Maison Perrier-Jouët en faveur de la biodiversité

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La Maison Perrier-Jouët, en partenariat avec la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne, propose une opportunité de financement aux acteurs de la région dans le cadre du projet de valorisation du terroir « Actions locales pour la biodiversité ». En cohérence avec les actions environnementales déjà menées par la Maison, cet appel à projet a pour ambition de créer une mosaïque d’habitats pour la biodiversité, englobant l’ensemble des territoires : le vignoble, la plaine agricole, le plateau forestier et les zones bâties.

Pour accompagner ces démarches, des financements seront dédiés aux projets de restauration et d’aménagements.

Plusieurs terroirs sont concernés par cet appel à projet : les Agusons, la Côte des Blancs, et pour cette nouvelle édition, la Vallée du Petit Morin.

La Maison Perrier-Jouët souhaite participer à l’embellissement de l’écosystème champenois en accompagnant la création de réservoirs et corridors de biodiversité, permettant de relier la forêt, les coteaux, la ripisylve, les zones agricoles et bâties.

L’appel à projet est ouvert aux entreprises, associations, communes et particuliers présentant un projet qui sera évalué selon certains critères par un comité de sélection composé de la Mission Coteaux, Maisons et Caves de Champagne, du Comité Champagne et de la Maison Perrier-Jouët.

Date limite : 31 octobre 2025 - Adresse de dépôt de projet : contact@champagne-patrimoinemondial.org

Les coopératives Tereos et Capdéa annoncent leur rapprochement

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Les coopératives Tereos et Capdéa annoncent leur rapprochement en vue de consolider leurs activités de déshydratation de productions végétales « au service des coopérateurs et des territoires de la Marne et de l’Aube ». Centré sur les activités de déshydratation de luzerne, de pulpes de betteraves et d’autres productions végétales, et dans un contexte marqué par des défis agronomiques, opérationnels et commerciaux, ce projet de regroupement coopératif vise à mieux soutenir et promouvoir les productions végétales régionales en consolidant la production et la valorisation de la luzerne grâce à l’élargissement du portefeuille produits ; en diversifiant les productions à déshydrater, réduisant ainsi l’exposition au risque des coopérateurs et en renforçant l’ancrage des deux coopératives dans leur territoire.

Les Conseils d’administration de Tereos et de Capdéa se sont accordés à créer, autour de 1 500 agriculteurs, un acteur coopératif majeur et efficient de la déshydratation de luzerne (env. 210 000 tonnes en pellets, en balles et en extraits concentrés de luzerne), de pulpes de betteraves (env. 100 000 tonnes) et d’autres productions végétales (environ 20 000 tonnes).

Ce regroupement coopératif, dénommé « Tereos CapDéshy », est doté d’une taille significative et de ressources combinées qui lui permettront de relever l’enjeu crucial de valorisation du travail et des productions végétales de ses coopérateurs. En lien avec les nombreux partenariats conclus précédemment par les deux coopératives avec notamment France Luzerne et ses membres, la coopérative Sainfolia (sainfoin), la société Francopia (oeillette) ou la Distillerie Jean Goyard (marc de raisin), les Conseils d’administration souhaitent :

-  accompagner et renforcer les services apportés à leurs coopérateurs dans le développement d’une agriculture durable et génératrice de rémunérations attractives ;

-  mener des actions pour le développement des énergies renouvelables ;

-  promouvoir et valoriser les filières ancrées dans leurs territoires à travers des productions répondant aux attentes des clients ;

-  mettre en commun les moyens humains, économiques et industriels pour renforcer la performance collective et dégager de nouvelles capacités d’investissement.

Ce projet tient compte des savoir-faire complémentaires des deux coopératives et est mené selon un principe d’égalité. Ainsi, l’administration de cette activité sera assurée au travers d’une Commission dédiée et intégrée à la Gouvernance de Tereos avec une représentation équilibrée des deux coopératives. La Présidence de cette Commission serait assurée par Thierry Tissut, actuel Président de Capdéa et la direction des opérations serait confiée à Florent Feige, actuel Directeur des opérations Luzerne de Tereos.

La réalisation de ce projet est conditionnée à l’information et à la consultation des représentants du personnel et l’approbation finale par les assemblées générales des deux coopératives.

Disparition de Frédéric Panaïotis, chef de caves de la Maison Ruinart

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Frédéric Panaïotis (Crédits : DR)

Lundi 16 avril, la Maison Ruinart a annoncé le « décès brutal » de son chef de caves, Frédéric Panaïotis, survenu dimanche 15 juin 2025, à l’âge de 60 ans. « Frédéric Panaïotis était une personnalité unique, à la fois extrèmement rationnelle et profondément sensible. Passionné, curieux, engagé, homme de science et de savoir, et porté d’une grande humilité, il était le symbole des valeurs portées par Ruinart. Sa vision unique continuera de laisser sa marque sur notre Maison pour les prochaines décennies. Il va profondément nous manquer », a réagi Frédéric Dufour, le Président de la Maison Ruinart.

Figure incontournable de la Champagne, et plus généralement du vin, Frédéric Panaïotis laisse derrière lui l’image d’un collègue apprécié de tous dont la passion, l’exigence, la vision et l’engagement au service de l’excellence ont marqué de leur empreinte la Maison Ruinart. « Œnologue brillant, homme de cœur et d’écoute, il savait faire rayonner avec élégance et humilité l’esprit de la Champagne à travers le monde. En ces moments difficiles, nos pensées vont à sa famille, à ses proches et à ses plus proches collaborateurs », souligne la Maison de champagne dans son communiqué.

Hermès va créer un atelier de réparation de sacs à Bogny-sur-Meuse

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Venu dans les Ardennes pour la pose de la première pierre de la future manufacture de Charleville-Mézières, Maxence Baseden, le directeur général du pôle artisanal maroquinerie-sellerie d’Hermès, a annoncé qu’un atelier de réparation de sacs sera créé d’ici la fin de l’année à Bogny-sur-Meuse à proximité de la maroquinerie historique du pôle ardennais.

« Cette nouveauté se concrétisera dans un petit bâtiment situé sur une parcelle attenante. Elle pourrait à terme concerner 25 à 30 artisans supplémentaires qui assureront les réparations du quotidien sur des sacs âgés ou ayant subi des accidents de la vie nécessitant un entretien. Nous leur redonnerons vie dans cet atelier qui sera le cinquième de ce type à exister au sein du groupe Hermès sur le territoire français. Il faut savoir qu’en maroquinerie, nous réparons 50 000 articles par an. Les futurs artisans appelés à travailler dans ce service après-vente et d’y exceller doivent savoir qu’ils pourront par la suite avoir la possibilité d’être expatriés s’ils le désirent pour vivre une expérience professionnelle à l’international à Tokyo, ShangaÏ ou New-York ».

Budget participatif 2025

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Jusqu’au 15 juin 2025, la Ville d’Epernay donne la possibilité aux habitants de proposer des projets d’aménagement de l’espace public, dans le cadre du Budget participatif. Une enveloppe de 100 000 € sera consacrée à la réalisation de projets citoyens.

Conditions principales de participation :
* Avoir plus de 14 ans
* Déposer un projet d’investissement (ex : la création d’un jardin public est de l’investissement alors que son entretien (taille, tonte...) relève des dépenses de fonctionnement)
* Coût maximal du projet : 50 000 €
* Les propositions doivent répondre à plusieurs critères : concerner le territoire d’Epernay, relever des domaines de compétence de la Ville, avoir une utilité publique, présenter un intérêt collectif, s’inscrire dans le cadre de vie et respecter la notion de développement durable

Comment déposer un projet ?
* par voie numérique, via un formulaire en ligne disponible sur epernay.fr (ouvert du 1er mai au 15 juin)
* par voie papier, au 1er étage de l’Hôtel de Ville au 7 bis, avenue de Champagne (ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h).

Les principales étapes du Budget participatif :

Du 1er mai au 15 juin 2025 : Les Sparnaciens soumettent leurs projets.

Du 15 juin à fin septembre 2025 : Les services municipaux recueillent et évaluent la faisabilité des projets, d’un point de vue technique, juridique et financier.

Du 1er au 30 novembre 2025 : Les Sparnaciens, âgés de plus de 14 ans uniquement, sont invités à désigner les lauréats, par voie numérique ou papier. Ils peuvent sélectionner trois projets par ordre de préférence.

Décembre : Proclamation des résultats.

Patrick Molinoz : « Des signaux forts d’envie d’avancer ».

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(Crédits : DR)

En juin 2025, sera soumis au vote de l’assemblée régionale un accord de coopération avec l’Oblast et la ville ukrainienne de Vinnytsia, il sera soumis au vote de l’assemblée en juin 2025. Interrogé à ce sujet par nos confrères de TotalEU production en marge des travaux du Comité européen des régions à Bruxelles, Molinoz a souligné les perspectives fortes d’un partenariat à trois entre la Bourgogne-Franche-Comté, l’oblast de Vinnycja (Ukraine) et le land de Rhénanie-Palatinat (avec lequel la région est jumelée depuis plus de 60 ans). « Le Comité européen des régions, c’est aussi l’occasion d’échanger avec nos collègues élus des autres régions villes d’Europe et même ceux que l’on côtoie habituellement. La Bourgogne Franche-Comté est jumelée avec la Rhénanie-Palatinat depuis plus de 60 ans. J’ai pu aujourd’hui échanger avec un élu de Rhénanie-Palatinat sur une perspective de partenariat croisé avec l’Oblast de Vinnytsia (Ukraine, Ndlr). Le nouveau ministre président de Rhénanie-Palatinat a donné des signaux forts d’envie d’avancer sur un partenariat structuré avec ceux de l’Oblast de Vinnytsia. Et comme la région Bourgogne Franche-Comté va voter ce partenariat le 27 juin prochain, et bien nous avons pu débuter ces discussions et peut-être avec comme objectif à la fin d’avoir un accord à trois. La Rhénanie-Palatinat, l’Allemagne, la France, la Bourgogne Franche-Comté et l’Ukraine, l’Oblast de Vinnytsia. Tout ça dans cette perspective de soutien, d’appui à l’Ukraine en général vers le chemin d’entrée dans l’Union européenne que nous appelons de nos voeux ».

Source : TotalEU production

Thierry Bussy, réélu président de la Safer Grand Est

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photo de Thierry Bussy
Thierry Bussy (Crédits : DR)

Le 5 juin 2025, Thierry Bussy a été élu Président de la Safer Grand Est pour un second mandat, lors du conseil d’administration et de l’assemblée générale de la Safer.

Devenu éleveur par passion, Thierry Bussy est à la tête d’une exploitation de polyculture-élevage située à Maffrécourt, petite commune de la Marne dont il est maire. Président de la Safer Grand Est depuis juin 2021, Il y avait assuré différents mandats depuis dix ans ; de la présidence du comité technique Marne à la vice-présidence de la Safer. Le 5 juin dernier, il a été réélu, pour une durée de quatre ans, à la présidence de l’opérateur foncier. « Le renouvellement des générations, la possibilité d’orienter le foncier et d’attribuer des terres à ceux qui n’y accèderaient pas, c’est pour cela que je me suis engagé à la Safer » explique Thierry Bussy.

Concernant sa feuille de route, le président précise : « Nous devons accentuer nos efforts en faveur de la transmission des exploitations agricoles et viticoles. Parallèlement, ma volonté est de soutenir les projets d’installation, y compris hors cadre familial, grâce notamment aux outils de portage foncier à notre disposition ».