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+ 33% d’augmentation de fréquentation du marché de Noël à Reims en 2022

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725 000 visiteurs ont été accueillis sur le Marché de Noël pendant la période d’ouverture, du 1er au 30 décembre 2022. Les visiteurs sont majoritairement venus de Reims et des alentours, mais aussi de l’Ile de de France pour 14% d’entre eux, ainsi que 13 % des Hauts de France. On notera aussi 10% d’étrangers avec toujours principalement des Belges et une forte présence des Américains cette année.

En 2021, sur 33 jours d’ouverture, 600 000 visiteurs ont été comptabilisés sur le Marché de Noël hors Village des Artisans aux Hautes Promenades et Village des Enfants Place du Forum. En 2022, le site unique réunissant le Marché de Noël, le Village des Artisans et le Village des Enfants sur une période de 30 jours, soit -9% en durée a enregistré 725 000 visiteurs, soit +20,8% en fréquentation par rapport à 2021 et une augmentation de fréquentation globale de 33%.

Inauguration de la structure France Services de Sillery

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Henri Prévost, Préfet de la Marne, et Thomas Dubois, maire de la commune, ont inauguré la structure France Services de Sillery, le 25 janvier dernier. Nées de l’ambition d’un retour du service public au sein des territoires, les France Services sont des espaces modernes et conviviaux qui proposent une offre élargie de services aux habitants dans un seul et même lieu.

Fin décembre 2022, 2 538 espaces France Services ont été labellisés en France. Dans la Marne, 18 sont d’ores et déjà labellisés sur l’ensemble du territoire départemental. Soutenue par l’État et les opérateurs mobilisés à hauteur de 30 000 euros par an, cette labellisation marque l’engagement de l’État dans l’obtention d’un maillage territorial optimal, associé à la volonté de toujours améliorer la qualité du service rendu aux usagers. Dans cet espace France Services, deux agents sont formés pour accueillir et accompagner les usagers dans leurs démarches du quotidien.

Deux arrivées chez Mailly Grand Cru

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L’équipe dirigeant emmenée par Xavier Muller et Xavier Millard, Président et Directeur deMailly Grand Cru, annonce l’arrivée de deux nouvelles responsables : Elise Moreel rejoint les équipes de la coopérative au poste de Responsable Vignoble & RSE et Léa Boun en tant que Responsable Communication.

Diplômée de l’école d’ingénieurs ISA à Lille, Elise Moreel est spécialisée en agribusiness. Après des expériences en R&D chez Moët & Chandon et au sein d’une services pour lemonde agri viticole, elle intègre Mailly Grand Cru sous la responsabilité du Chef de Caves Sébastien Moncuit afin de coordonner de nouveaux projets communs visant à relever les défis d’une viticulture d’avenir.

Diplômée d’un Master Digital Marketing de l’Ecole de Commerce de Rennes, Léa Boun a notamment exercé au sein du Groupe Pernod-Ricard France, dans une exploitation familiale ainsi que dans une agence de marketing d’influence. Elle aura notamment pour mission de faire rayonner la marque, son collectif et leurs engagements, en France et à l’international.

CTLF s’engage aux côtés de Défi Services

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Une convention de partenariat a été signée, le 15 décembre dernier, entre la communauté d’agglomération Chauny-Tergnier-La Fère (CTLF) et l’association intermédiaire saint-quentinoise Défi Services, agréée par l’Agence nationale des services à la personne (ANSP). Elle a pour vocation de faciliter les parcours en insertion professionnelle des personnes recrutées sur les deux chantiers d’insertion communautaires.

« Après avoir passé quelques mois ou plus, au sein des chantiers de la communauté d’agglomération, six personnes ont signé un contrat d’engagement avec Défi Services, pour se voir confier des missions de ménage, d’aide à la personne, de travaux d’intérieur, de jardinage, auprès des particuliers ou des entreprises », explique l’intercommunalité axonaise. En se fixant pour objectifs de redonner une plus grande autonomie et un savoir-être professionnel aux bénéficiaires, cette ultime étape doit leur permettre un retour vers un emploi pérenne.

AG2R LA MONDIALE récompense 4 initiatives sociales et solidaires de la région Champagne-Ardenne Meuse

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Dans le cadre de son engagement sociétal, AG2R LA MONDIALE, spécialiste de la protection sociale et patrimoniale en France, a lancé en juin dernier les Trophées régionaux des initiatives sociales et solidaires 2022 dans toutes les régions. Portés par les activités sociales d’AG2R Agirc-Arrco, l’institution de retraite complémentaire du Groupe, ils récompensent des actions concrètes permettant de développer des solidarités de proximité ainsi que le lien social dans les territoires.

Cette année, pour la région Champagne-Ardenne Meuse, la cérémonie de remise des prix s’est déroulée le 17 janvier à Reims. Parmi les 11 dossiers de candidatures, le jury a récompensé 3 lauréats ayant reçu chacun une dotation financière de 6 000€ et un accompagnement au développement de
2 jours par un consultant. Le prix « Coup de cœur » est quant à lui assorti d’une dotation financière de 3 000€.

Les quatre lauréats et leurs projets :

Familles rurales association de territoires entre Suippe et Vesle
L’association a reçu un prix pour son initiative bénévole : le projet « Halte Répit Family’Air ». Ce service de proximité, proposé à Mourmelon-le-Grand (51), permet aux aidants familiaux de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une pathologie apparentée, de sortir de l’isolement que peut engendrer la situation d’aidance.

Les Ateliers des petites herbes
L’association a reçu un prix pour son initiative intergénérationnelle : le projet « L’embellie ». Ce programme dédié aux aidants et aux aidés résidants en pays d’Othe (10), propose des animations et des ateliers autour de l’activité physique, de la nutrition, du sommeil, du bien-être et de la gestion du stress. Grâce à ces temps partagés, l’association souhaite améliorer la relation entre l’aidant et l’aidé favorisant ainsi la qualité de vie au domicile.
Site internet : www.lesateliersdespetitesherbes.fr

La Ferme Rémoise
L’association a reçu un prix pour son initiative de coopération territoriale entre association et entreprise. En effet, elle accompagne des projets de reconversion professionnelle liés à l’économie circulaire et locale, portant notamment sur la transition alimentaire et l’agriculture urbaine. Site internet : https://www.lafermeremoise.fr/

La Direction AG2R LA MONDIALE de la région Champagne-Ardenne Meuse a attribué un Prix « Coup de cœur » à l’association Saints-Geosmes en forme pour son action « Mieux vivre chez soi ». Elle a pour objectif de lutter contre la perte d’autonomie des plus de 60 ans en situation d’isolement en milieu rural grâce à des activités physiques, faisant travailler la mémoire et alimentaires. L’association a été labellisée Maison Sport Santé.

Redynamisation des centres-villes : 29 communes axonaises soutenues

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Le 11 janvier dernier, le conseil régional des Hauts-de-France a dévoilé une liste de 148 communes retenues à la suite de l’appel à manifestation d’intérêt (Ami) concernant la revitalisation de centres-villes et centres-bourgs. Dans l’Aisne, 29 villes « exerçant des fonctions de pôles de centralité au sein de leur territoire » ont validé leur ticket. « Nombre d’entre elles participent déjà au programme national Petites villes de demain (PVD). Les communes intéressées ont à présent jusqu’au 6 mars pour candidater à cette offre de services qui s’appuiera sur trois volets spécifiques : l’aménagement urbain, l’artisanat et le commerce, ainsi que l’aide à la finalisation des projets. Les résultats de l’Ami seront divulgués courant mai », précise le conseil régional. Parmi les communes éligibles se retrouvent, notamment, Bohain-en-Vermandois, Charly-sur-Marne, Chauny, Guise, Hirson, La Capelle, Tergnier ou encore Villers-Cotterêts.

Une bonne campagne industrielle et une rémunération de la betterave en forte hausse

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La sucrerie de Bazancourt (Marne) a terminé sa campagne betteravière le 5 janvier 2023. Le site a enregistré de bonnes performances industrielles, malgré une récolte impactée par la sécheresse historique de l’été et dans un contexte énergétique tendu. En 111 jours de campagne, le site a transformé 2,2 millions de tonnes de betteraves, avec une consommation d’énergie toujours en baisse, une belle performance rendue possible grâce à l’agilité du site et aux investissements réalisés ces dernières années dans l’usine.

Les conditions climatiques difficiles ont impacté le bassin betteravier de la sucrerie de Bazancourt, avec une grande hétérogénéité des rendements qui varient de 45 tonnes à 90 tonnes de betteraves à 16° par hectare en fonction des types de sol et de la pluviométrie locale. Le rendement agricole moyen s’établit à environ 75 tonnes de betteraves avec une richesse moyenne des betteraves proche de 18 %.

La sucrerie enregistre une cadence moyenne de 20 000 tonnes de betteraves travaillées par jour, une cadence optimisée par rapport aux ratios énergétiques et qui bénéficie de la capacité du site à arbitrer sa production entre sucre et alcool. Les capacités de cristallisation s’élèvent à 1 300 tonnes par jour.

L’usine de Bazancourt affiche d’excellents ratios énergétiques, en ligne avec le plan ambitieux de CRISTAL UNION de sobriété énergétique et de réduction de son empreinte carbone engagé depuis de nombreuses années. Le site poursuit par ailleurs sa gestion vertueuse de l’eau pour être autonome en eau de forage. Des études sont en cours pour recycler davantage d’eau, en développant des synergies entre la sucrerie de Bazancourt et la distillerie Cristanol et en méthanisant des eaux de process sur la plateforme de Bazancourt-Pomacle.

Malgré le contexte de hausse des prix de l’énergie, du fait de ses activités performantes et de l’amélioration des prix de vente de ses productions Cristal Union est en mesure de proposer une forte hausse de la rémunération des betteraves de ses coopérateurs à un prix de plus de 40 euros la tonne pour cette campagne 2022, en augmentation de plus de 10 euros par rapport à la campagne précédent.

Aéroport de Vatry : le conseil d’administration s’est réuni et acte la mise en vente

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L’établissement public de gestion de l’aéroport de Vatry (EPGAV) a réuni son conseil d’administration le mardi 17 janvier pour examiner la situation globale, notamment les perspectives budgétaires de l’exercice 2023. Dans un communiqué publié le même jour, le CA de l’Aéroport de Vatry a précisé la nature de plusieurs décisions actées lors de cette réunion.

« En 2022, la situation internationale et économique n’a pas permis d’atteindre les objectifs de tonnage fixés à plus de 30.000 tonnes pour l’aéroport de Vatry. Les perspectives 2023 du secteur amènent ainsi les membres du conseil d’administration à présenter de nouveaux objectifs, réalistes et soutenables. Suite aux résultats très encourageants de l’année 2021, l’aéroport avait en effet calibré ses effectifs à un niveau qui ne correspond plus au tonnage attendu, au regard notamment de la conjoncture actuelle et attendue. La nécessité d’équilibrer le budget contraint le conseil d’administration à demander une subvention exceptionnelle au conseil départemental de la Marne. De plus, un plan social d’entreprise va devoir être mis à l’étude. Ensemble, ces mesures visent à maintenir l’activité de l’aéroport et à rechercher de nouveaux développements ».

En outre, le président du conseil d’administration, Christian Bruyen, a rappelé que les financements publics « n’avaient pas vocation à soutenir en permanence une activité économique en dehors du champ de leurs compétences strictes ». Autrement dit, dans ces conditions, « et même si cela concerne seulement l’exploitation de la structure et non pas d’éventuels investissements s’avérant nécessaires et pouvant alors relever pour certains du propriétaire de l’aéroport », l’opportunité de rechercher des financements privés a été posée.

C’est également ce qui a conduit le Conseil d’administration de l’aéroport à ouvrir la voie au lancement d’une procédure de vente. Celle-ci, dont la forme n’est pas arrêtée, « pourra prendre du temps ». Les membres du conseil d’administration sont prononcés à l’unanimité en faveur des mesures proposées, précise le communiqué.

Corinne Renart, nouvelle présidente de l’Ordre des experts-comptables Hauts-de-France

Hommes et chiffres
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Le 16 décembre dernier, les membres élus du conseil régional de l’Ordre des experts-comptables Hauts-de-France ont désigné Corinne Renart à la présidence. Vice-présidente depuis 2012, elle avait, jusque-là, en charge la communication et présidait la commission juridique. Âgée de 57 ans, Corinne Renart est diplômée d’expertise comptable depuis 1995 et exerce en libéral depuis 2002. Elle a créé son cabinet d’expertise Rev Comptabilité en 2011 à Wambrechies dans le Nord. Le conseil régional de l’Ordre des experts-comptables Hauts-de-France est né, en 2020, du rapprochement territorial des deux conseils régionaux Nord-Pas-de-Calais et Picardie-Ardennes. Lors de cette nouvelle mandature, les 29 membres élus se sont fixé trois orientations stratégiques : la transformation digitale, la transition managériale et la prévention et la gestion des difficultés des entreprises.

Taxes sur les véhicules de tourisme des entreprises

Informations Juridiques
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Depuis 2022, la taxe sur les véhicules de société est remplacée par deux taxes sur l’affectation des véhicules de tourisme à des fins économiques. L’une est basée sur les émissions de CO2, l’autre sur l’ancienneté du véhicule (mise en circulation avant 2001).

  • Les tarifs sont identiques aux tarifs de la taxe sur les véhicules de société. Le montant de la taxe tient compte de la proportion annuelle d’affectation du véhicule à des fins économiques en jours au cours de l’année. Sur option, la proportion annuelle d’affectation peut être calculée forfaitairement sur une base trimestrielle. Les taxes concernent également les véhicules détenus ou utilisés par des salariés ou dirigeants et qui font l’objet de remboursement de frais. Le montant des taxes correspondant est réduit d’un abattement de 15 000 euros et d’un coefficient pondérateur en fonction du nombre de kilomètres parcourus. Les exonérations concernent les véhicules roulant à l’électricité, l’hydrogène ou une combinaison des deux, et les véhicules en location d’au plus un mois ou trente jours consécutifs.
  • Le premier paiement des taxes interviendra en 2023 au titre des véhicules affectés à des fins économiques au cours de l’année civile 2022, quelles que soient les dates de l’exercice.

Les taxes doivent être déclarées et payées en janvier 2023 pour les redevables de la TVA au régime réel normal et les non redevables de la TVA. Les redevables soumis à la TVA selon le régime simplifié effectuent la déclaration sur la déclaration annuelle de TVA (CA 12).

Soirée roman-photo à Jean Falala

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Ce samedi 21 janvier de 17 à 23 heures à Jean Falala, venez célébrer l’oeuvre d’Eric Judor et de Fabcaro, le livre photo Guacamole Vaudou. Au programme : La réalisation d’un roman-photo collaboratif qui amènera les personnes à prendre leurs meilleures poses et sourires.

A 17 heures, un conte lu par un(e) comédien(ne) surprise et un DJ Set de Roots of Vinyl animeront la soirée des 20 ans.

Près de neuf logements sur dix sous-occupés dans les communes rurales au Grand-Est

Collectivités
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Selon un rapport de l’Insee, en comparant avec la moyenne de la France de province, le Grand Est se retrouve moins peuplé et moins dense. De plus, la population dans les communes rurales diminuent entre 2014 et 2019, contrairement aux communes urbaines où la population stagne.

Pour les communes rurales, le phénomène de sous-occupation est plus répandu qu’en milieu urbain puisque les logements sont beaucoup plus grands. Autre point important, ces logements sont plus énergivore. Cela est dû à leur ancienneté et à leur taille.

La Caisse d’Epargne Grand Est Europe devient partenaire de la Chaire « Bioéconomie et Développement Soutenable » de NEOMA

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Ce partenariat illustre l’ambition de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe d’enrichir ses propres réflexions en matière de transition écologique, tout en partageant les travaux de la Chaire avec ses clients (entreprises, collectivités, associations). « Ce partenariat est la suite logique de notre collaboration engagée depuis plusieurs années avec NEOMA. C’est pour notre banque, active sur son territoire auprès de tous ceux qui participent à son rayonnement et son développement, une nouvelle preuve concrète de son utilité », indique Eric Saltiel, membre du directoire, en charge du pôle Ressources de la CEGEE.

« C’est aussi la première fois que nous nous engageons sous cette forme auprès des acteurs de l’économie et du monde de l’enseignement supérieur et de la recherche, et nous sommes très heureux de le faire avec NEOMA ».

La Caisse d’Epargne Grand Est Europe bénéficiera ainsi des travaux menés au sein de la Chaire, de cas d’entreprises transférables et d’outils pour piloter des plans d’actions soutenables. « Les questions de transition écologique sont au cœur des préoccupations des entreprises aujourd’hui et la bioéconomie représente une approche nouvelle en la matière », explique Nicolas Béfort, Titulaire de la Chaire de NEOMA. « Pour pleinement traiter la complexité de ces sujets et participer au débat de manière éclairée, la Caisse d’Epargne Grand Est pourra s’appuyer sur notre recherche de pointe ». La Caisse d’Epargne Grand Est Europe rejoint ainsi les partenaires historiques de la Chaire : la CCI Marne en Champagne et le Grand Reims.

« La CCI Marne en Champagne renouvelle son soutien à la chaire de NEOMA qui apporte une vraie valeur ajoutée au territoire », souligne Sylvain Mary, membre du Bureau de la CCI Marne en Champagne. « Nos enjeux sur la bioéconomie et la neutralité carbone permettent d’ancrer la chaire au cœur de l’action des entreprises. Nous nous félicitons de l’arrivée de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe parmi les financeurs ».

« Notre territoire s’est engagé dans le pari de l’innovation et de la recherche afin de répondre aux défis environnementaux et la bioéconomie est un levier majeur pour concrétiser ce défi », indique Catherine Vautrin, Présidente du Grand Reims.

Accompagnement des TPE face aux coûts de l’énergie

Collectivités
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Alain BUCQUET, préfet des Ardennes, accompagné de Claudine TIXIER, directrice départementale des finances publiques (DDFIP), a réuni ce mercredi 11 janvier 2023, les chambres consulaires (CCI-CMA) entourées de chefs d’entreprises, le représentant de la fédération des boulangers et les énergéticiens afin d’échanger sur les aides gouvernementales aux entreprises pour faire face au prix de l’électricité et du gaz et sur les modalités d’accompagnement des TPE et PME. Ces échanges ont vocation à être renouvelés régulièrement, en fonction des exigences de l’actualité et des éventuelles difficultés auxquelles les entreprises pourraient être confrontées.

Rappel des aides

Afin de soutenir les entreprises contre la hausse des prix de l’énergie, plusieurs mesures sont mises en place :

  • Le bouclier tarifaire,
  • L’amortisseur d’électricité pour réduire les coûts,
  • Le guichet d’aide au paiement des factures d’électricité et de gaz,
  • Le report du paiement des impôts et cotisations sociales pour soulager la trésorerie.

Mesure nouvelle

  • La possibilité de renégocier son contrat d’électricité, pour les TPE, afin de bénéficier d’un prix maximum de 280€ le MWh en moyenne sur l’année 2023, applicable dès la facture de janvier 2023, et pour toute l’année.

Pour plus d’informations :

https://www.economie.gouv.fr/hausse-prix-energie-dispositifs-aide-entreprises

Crise énergétique : L’usine Cofigeo de Pouilly-sur-Serre à l’arrêt

Entreprises
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Depuis lundi dernier, les 220 salariés axonais du groupe agroalimentaire qui produit, notamment, les marques William Saurin, Garbit ou encore Zapetti, ont été placés pour un mois en chômage technique. En cause : une facture énergétique incontrôlable, multipliée par dix.

Au même titre que les usines de Capdenac (Aveyron), Saint-Thibault-des-Vignes (Seine-et-Marne) et Camaret-sur-Aigues (Vaucluse), le site industriel de Pouilly-sur-Serre, au nord de Laon, a été provisoirement mis à l’arrêt, le 2 janvier. En décidant de fermer, pendant un mois, la moitié de ses unités de production en France, le groupe Cofigeo entend limiter la consommation énergétique. Ainsi, 800 des 1.200 collaborateurs se retrouvent en chômage technique et vont percevoir 70 % environ de leur salaire.

Selon France Bleu, « la direction a décidé de prendre cette mesure car elle dit ne plus pouvoir faire face aux coûts énergétiques pour appertiser, et stériliser les conserves : des opérations qui nécessitent de faire chauffer de l’eau à plus de 100 degrés. La facture énergétique est ainsi passée de 4 à 40 millions d’euros ». Si un accord a été trouvé à la fin de l’année dernière entre le groupe agroalimentaire et les syndicats, ces derniers redoutent que cette situation perdure et fragilise la pérennité des emplois. De son côté, la direction a indiqué vouloir redémarrer la production « le plus tôt possible ».