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Nicolas Fricoteaux est réélu Président du Conseil Départemental de l’Aisne

Politique
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Jeudi 1er juillet, le second tour des élections départementales a rendu son verdict. Avec une majorité passant de 18 à 36 élus sur 42, le président sortant Nicolas Fricoteaux a été réélu à la tête du Département de l’Aisne.

La majorité sortante, avec des candidats sur tous les territoires, a remporté ses duels dans 18 cantons, s’assurant une majorité élargie. Les candidats de l’opposition de gauche obtiennent 6 sièges (3 cantons). Au total, ce sont 21 élus qui ont fait leur entrée pour la 1ère fois au sein de l’assemblée, aux côtés des sortants reconduits dans leurs fonctions pour 7 années.

Le président a immédiatement donné le ton : pas de triomphalisme au vu du fort taux d’abstention et la volonté de poursuivre les efforts engagés depuis 6 ans.

« Le mandat qui s’ouvre sera donc celui de l’innovation, l’innovation sous toutes ses formes. Innovation sociale avec la montée en puissance de nos dispositifs de solidarité humaine pour que chaque habitant de l’Aisne se sente soutenu, trouve ou retrouve sa place, l’innovation environnementale pour que toutes nos politiques intègrent avec autant d’intensité possible, dans la limite de nos compétences et de nos moyens, l’enjeu de la transition environnementale et enfin, l’innovation numérique pour que les Axonais profitent et disposent de toutes les ressources à notre portée pour un développement humain respectueux, durable et juste. », explique Nicolas Fricoteaux.

L’Association Symbiose présente son projet Apiluz

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L’Association Symbiose, qui lutte en faveur de la préservation de la biodiversité, a présenté lundi 5 juillet 2021, devant les représentants de l’État, les collectivités territoriales, les institutions et la presse, son projet nommé Apiluz. Lancé en 2014, « Apiluz permet de garantir aux abeilles l’accès à de la nourriture en période de disette, en évitant de faucher des bandes de luzerne en la laissant monter en fleurs » explique Hervé Lapie, Président de Symbiose.

Ce dispositif, établit de façon conjointe avec les agriculteurs, les apiculteurs, et les coopératives de déshydratation sur un large territoire comprenant huit départements (Aisne, Ardennes, Marne, Seine-et-Marne, Aube, Haute-Marne, Yonne et une petite portion du Val de Marne), est à ce jour inédit en Europe.

Dès 2014, année du lancement, et jusqu’en 2016, une expérimentation basée sur un protocole scientifique mis au point par le Réseau Biodiversité́ pour les Abeilles (RBA), a permis de tester des pratiques de non-fauchage de bandes de luzerne sur le secteur de Beine-Nauroy (51) grâce à la participation de la coopérative Luzéal. Avec un recul de quatre années, les résultats de cette expérimentation ont montré́ l’augmentation de 20% de la fréquentation des parcelles observées par les papillons et les abeilles. L’objectif d’atteindre 1700 kilomètres a été́ atteint et même dépassé́, ce qui représente 520 hectares de bandes de luzerne non-fauchées, soit une réserve alimentaire pour environ 100 millions d’abeilles. « Un hectare de bande de luzerne non fauchée nourrit 160 000 abeilles et autres pollinisateurs », ajoute Hervé Lapie.

Le Groupe Dassault soutient la maison natale de Jean de la Fontaine à Château-Thierry

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Dans le cadre de la collecte de dons pour la maison natale de Jean de la Fontaine à Château Thierry, organisée par la Fondation du Patrimoine, le Groupe Dassault a souhaité soutenir ce projet en apportant un mécénat de 281 000 €. Cela s’inscrit dans le cadre de la récente convention de partenariat signée entre la Fondation du patrimoine et le Groupe Dassault, pour la restauration de monuments français.

Le lancement officiel de cette collecte a lieu ce jeudi 8 juillet 2021, date anniversaire des 400 ans de la naissance du plus grand fabuliste français, à partir de 15 heures. Il se fera à Château-Thierry, en présence d’Amin Maalouf, membre de l’Académie française et parrain du 400ème anniversaire.

Cette collecte de dons vise à participer au financement de la restauration, de l’aménagement des intérieurs et de la mise en valeur des collections par le doublement de l’espace d’exposition pour un montant global des travaux de 4,45 millions d’euros.

NEOMA dévoile des partenaires d’exception pour la rentrée 2021

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Enseignement supérieur. Università Bocconi, University of Houston... NEOMA dévoile des partenaires d’exception pour la rentrée 2021.

Sur le plan de l’international, NEOMA Business School défend depuis toujours un parti-pris immersif favorisant les départs de ses étudiants en petite cohorte au sein de partenaires académiques reconnus à travers le monde. Aujourd’hui, l’Ecole poursuit le développement de son réseau à l’international avec l’arrivée de plusieurs institutions prestigieuses. Ces nouveaux partenaires de renom participeront à offrir aux étudiants une expérience internationale d’excellence dès la rentrée 2021.

« Notre stratégie de développement à l’international est à la fois distinctive et très forte : elle consiste à s’appuyer sur des partenariats avec des institutions de haut niveau pour permettre l’échange de petits groupes d’étudiants qui ainsi vivent une véritable immersion en local, sur le plan académique comme culturel », explique Céline Davesne, Directrice Générale Adjointe Programmes et International de NEOMA Business School.

Parmi elles, l’Università Bocconi, basée à Milan, University of Houston (Texas).Après la signature de 4 nouveaux accords d’échange en Asie annoncée au printemps dernier, NEOMA accueillera au sein de son réseau dès la rentrée prochaine plusieurs institutions reconnues parmi lesquelles : Rotterdam School of Management, San Francisco State University, Stockholm School of Economics, University of Texas at Dallas et L’University of Chile.

Architecture & Champagne

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Appel à candidatures pour les Universités d’été organisées du 7 au 19 juillet

Pour la 4e année, la Communauté d’Agglomération de Châlons-en-Champagne (CAC) et la Maison De l’Architecture Champagne-Ardenne organisent du 7 au 19 juillet 2021 les Universités d’été Architecture et Champagne. Ce worhshop d’architecture consiste à construire dans les paysages de vignes champenois des micro-architectures à l’échelle 1. Véritable formation accélérée, les étudiants ont, au cours de ces 13 jours, l’occasion de concevoir (2 jours) et construire (7 jours) ces prototypes uniques avant d’aller les implanter (2 jours) dans les paysages si typiques de Champagne.

La CAC met à disposition des étudiants et des jeunes architectes un atelier très équipé, très outillé. L’hébergement et les repas sont organisés et des compagnons viennent transmettre leur savoir.
Chaque micro-architecture est conçue et construite par une équipe de quatre stagiaires accompagnée d’un encadrant pédagogique pour le besoin précis d’un vigneron.

En 2021, Simon Teyssou sera le parrain du workshop et le thème sera le réemploi ; sont invités les collectifs « Faire Avec » et « Rotor ».
Après la période de confinement que nous avons vécue durant laquelle le travail d’équipe et la pratique nous ont tant manqué, ces Universités seront l’occasion de reprendre ensemble des activités collégiales et une pratique de l’architecture concrète en complément de l’enseignement théorique général reçu en école (d’architecture, de génie civil, de viticulture, de commerce) ! La participation aux Universités pourra être validée comme un stage pratique.

Ouvert à tout adulte de plus de 18 ans, motivé !

Des bourses sont à demander par mail pour une aide à l’inscription (jusqu’à 70% pris en charge) : envoyer CV et lettre de motivation à summerschool@ma-ca.org

RDV sur www.ma-ca.org pour les inscriptions et plus d’infos !

145 millions de voitures électriques en 2030

Automobile
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On en dénombrait 11 millions il y a quelques mois à travers le monde. Elles seront 13 fois plus nombreuses avant la fin de la décennie. Un véritable bouleversement. Si on en croit les experts de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), 2020 a constitué un tournant majeur sur le marché de la voiture électrique. Alors que la crise sanitaire touchait l’ensemble de la planète et que le marché automobile était touché de plein fouet, les ventes de voitures électriques ont fait un spectaculaire bond en avant. D’un côté, une chute des immatriculations de 16 % à l’échelon planétaire. De l’autre, une augmentation de 41 % des véhicules électriques et hybrides rechargeables. Au total, 120 Mds$ ont été consacrés à l’achat de modèles zéro émission : une progression de 50 % d’une année sur l’autre.
Dans le monde, fin 2020, il y avait 11 millions de véhicules électriques dont 1 million d’utilitaires de toutes catégories, bus et cars compris. Combien sont-ils aujourd’hui ? Nettement plus si on en croit les chiffres en avant par l’Agence internationale de l’énergie qui a constaté une augmentation de l’ordre de 140 % depuis le début de l’année. Et ce n’est pas fini. Des projections font état de progressions très fortes avant la fin de la décennie. La plus ambitieuse estime qu’avec une politique publique volontariste, on pourrait atteindre jusqu’à 230 millions de véhicules en 2030, soit 12 % du parc automobile mondial. Une autre hypothèse, sans doute plus réaliste, élaborée sur la base des politiques actuelles, promet 145 millions de véhicules électriques à la même échéance.
Avec plusieurs écueils majeurs soulignés par l’AIE : la disponibilité des matières premières entrant dans la composition des batteries, la capacité de production des usines de batterie dont une grande partie est en cours de construction et, dernier point mais pas le moindre, le nombre, la disponibilité et la fiabilité des bornes de recharge. Un obstacle dont on pressent les difficultés à le surmonter, en particulier au niveau français où on est très loin du compte et des promesses. D.M.

Prix régional des solidarités rurales 2021 du CESER Grand Est

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Organisé par le CESER avec l’appui de la Ligue de l’Enseignement, ce Prix récompense et distingue des initiatives qui concourent au maintien ou à l’amélioration des conditions de vie en milieu rural dans tout le Grand Est. https://www.ceser-grandest.fr/Dans le contexte de crise sanitaire, économique et sociale, le Prix régional est un levier important en Grand Est pour valoriser et accompagner les capacités d’engagement citoyen et d’innovation sociale et économique des acteurs du territoire.
Le #PRSR2021 est ouvert aux associations, aux groupements, aux entreprises, aux collectivités et à leurs établissements qui agissent dans et pour la ruralité.

D’une dotation totale de 67 000€, ce Prix est alimenté par la Région Grand Est à hauteur de 25 000€, et complété par six Prix spéciaux apportés par les partenaires, chacun doté de 7 000€ : Fondation de la Caisse d’Epargne Grand Est Europe, Banque des Territoires-Groupe Caisse des Dépôts, EDF, Groupe La Poste, AG2R La Mondiale, Foire de Châlons-en-Champagne.

Depuis 1993, c’est plus d’un million d’euros qui ont permis de récompenser, encourager et mettre en lumière les quelque 150 réalisations récompensées à destination de nos territoires ruraux et de leurs habitants.

Candidatures exclusivement en ligne jusqu’au 30 juin 2021 : https://cutt.ly/cco1Ci5

Reims : retour du marché des artisans d’art

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Après l’annulation du rendez-vous prévu en avril, le Marché des Artisans d’art revient sous les halles du Boulingrin dimanche 20 juin. Cet évènement proposera au grand public de découvrir les créations de plus de 45 artisans d’art, des pièces uniques ou des très petites séries. Des ateliers d’initiation pour enfants seront aussi proposés, tout comme la possibilité d’admirer les œuvres des candidats au concours d’Ateliers d’Art de France, exposés en présence de leurs auteurs pendant toute la durée du Marché.
Evénement trimestriel autour des métiers d’art, au contenu renouvelé à chaque édition, le marché des artisans d’art des Halles du Boulingrin de Reims présente l’excellence des métiers d’art du Grand Est. Ouvert au grand public sans conditions d’accès, hormis le respect des règles sanitaires en vigueur, ce marché des artisans d’art est hébergé dans un site monumental des années 30, emblématique du centre-ville rémois.
Le marché des artisans d’art aux Halles du Boulingrin est un événement organisé par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Grand Esten partenariat avec la Ville de Reims et avec le soutien financier du Conseil régional Grand Est.

Halles du Boulingrin de Reims dimanche 20 juin ; entrée libre, dans le respect des conditions sanitaires en vigueur, de 10 à 18 heures.

SOCOTEC recrute 75 personnes dans le Grand Est

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Le groupe SOCOTEC, leader de la gestion des risques dans les infrastructures et la construction, très implanté  dans le Grand Est, lance un appel   recrutement de 75 personnes pour renforcer ses activitées dans la région. Acteur de premier plan dans le développement des grands projets et l’accompagnement des sites industriels et  énergétiques, SOCOTEC emploie aujourd’hui 245 collaborateurs dans la région répartis dans 29 agences locales et centres de formation.
SOCOTEC se définit comme un acteur de premier plan de l’économie du Grand Est où il déploie toute la palette de ses métiers grâce à  un maillage d’agences dense couvrant tout le territoire. Ses  équipes ont acquis au fil du temps des compétences pointues, leur permettant de répondre à  des projets de tous types et de toutes tailles : contrôle technique et coordination SPS des chantiers du Parlement Européen à  Strasbourg ; accompagnement de la métropole du Grand Nancy dans sa démarche de cartographie de la présence d’amiante dans ses voiries afin d’assurer la sécurité  de ses  équipes ou encore contrôle des immenses fourneaux de 30 m de long et 5 m de haut du site Arcelor Mittal de Serémange-Erzange etc.

Le Grand Est est la 2e région industrielle, hors  Île-de-France, spécialisée dans l’industrie manufacturière, l’énergie et l’agroalimentaire, avec plus de 16 000  établissements industriels. La région soutient le développement de filières innovantes, avec notamment 6 pôles de compétitivité  sur des sujets d’avenir, comme les véhicules du futur ou encore les  écotechnologies. Les  équipes du groupe ont développé  des compétences spécifiques dans la région pour accompagner ces grands sites industriels et  énergétiques, notamment dans le nucléaire.
SOCOTEC est au cœur des projets structurants du territoire dont le Contrôle technique de la construction de maisons en impression 3D à Reims : Mené  par le bailleur social Plurial Novilia, le projet Réma’Vert et ses 730 logements est un laboratoire d’expérimentations éco-responsables. Parmi les challenges relevés : la construction de cinq maisons en utilisant l’impression 3D. Fort de 5 000 collaborateurs en France (9 000 dans le monde), SOCOTEC accompagne les acteurs de la construction, de l’immobilier, des infrastructures et de l’industrie pour assurer la conformité  de leurs actifs (usine, gare, bureaux, ponts, centrale nucléaire…), la prolongation de leur durée de vie, l’amélioration de leur performance environnementale et la garantie de la sécurité des personnes.

Cristal Union développe un bio-carburant d’origine végétale

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Depuis novembre 2020, Cristal Union expérimente l’ED95, un nouveau biocarburant d’origine végétale destiné aux poids lourds sur son site d’Arcis-sur-Aube (10). Durable et local, l’ED95 est fabriqué à partir d’éthanol issu de résidus de la transformation de la betterave et de résidus viniques. Son bilan environnemental particulièrement flatteur en fait une solution de premier plan pour décarboner le transport de marchandises. L’ED95 est un biocarburant contenant 95 % de bioéthanol et 5 % d’additifs, spécifiquement adapté aux moteurs des poids-lourds. Issu de résidus de la transformation des betteraves à sucre, collectées dans un rayon moyen de 30 km autour des sucreries de Cristal Union, et de résidus viniques, il permet une réduction des gaz à effet de serre de 88 % par rapport à l’équivalent diesel sur l’ensemble du cycle de vie du carburant : culture, transformation, distribution et utilisation. Il émet également moitié moins d’oxyde d’azote (NOx) sur un cycle routier mixte (étude Ademe 2018).

Les Vitrines de Reims lancent une opération de chèques cadeaux pour soutenir le commerce

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Pour fêter la réouverture des commerces, les Vitrines de Reims offrent jusqu’à 20% supplémentaires sur les achats de Chèques cadeaux, pour tout achat d’un minimum de 50€ et maximum de 300€, à dépenser avant le 31 juillet 2021 chez les adhérents des Vitrines de Reims, hors rayons alimentaires et grandes surfaces.

  • La liste des commerces partenaires est à retrouver sur leur site,
  • Commandés par mail : contact@vitrinesdereims.com,
  • Par téléphone au : 03 26 47 88 50, aux Vitrines de Reims, 1c rue Jadart.

UIMM : Signature d’un accord dans la métallurgie

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Les négociations départementales salaires 2021 de la Métallurgie des Ardennes se sont achevées le jeudi 27 mai 2021, a annoncé l’UIMM dans un communiqué en date du 27 mai. La dernière séance de négociations a permis de déboucher sur la signature d’un accord entre : L’UIMM Champagne-Ardenne (Site des Ardennes, représentée par Arnaud Bernier), et les organisations syndicales UD-F.O. (représentée par Sandy Raguet), CFE-C.G.C (représentée par Patrice Bernaille) et C.F.D.T. (représentée par Albert Cazeaux).

L’accord porte sur :
-  Une revalorisation de la valeur du point qui passe de 4,93 € à 4,96 € applicable au 1er juin 2021 ;
-  Une prime « vacances » 2021 portée de 695 € à 700 € ;
-  Une augmentation de 1,47 % de la grille des Rémunérations Annuelles Garanties qui a permis d’amener le premier niveau à une valeur supérieure au SMIC en vigueur.
Le Conseil d’Administration de l’UIMM Champagne- Ardenne – Site des Ardennes se dit “satisfait de cet accord” et tient à souligner “la responsabilité dont ont fait preuve les organisations syndicales signataires”.

Contrôle technique : les VUL mauvais élèves

Automobile
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En 2020, les utilitaires légers ont été de plus en plus nombreux à être recalé au contrôle technique. Plus de 28 % des plus de 10 ans ont été contraints à une contre-visite. L’entretien des véhicules utilitaires légers (VUL) est-il négligé ? C’est ce que semble indiquer les statistiques du contrôle technique 2020. Une dégradation dont s’alarme le Conseil national des professions de l’automobile (CNPA) qui parle de « chiffres particulièrement préoccupants ». D’autant plus que les VUL sont fortement sollicités : kilométrage important, surcharge fréquente, multiples conducteurs…
En 2020, 10,48 % des utilitaires légers de moins de quatre ans ont échoué au contrôle technique et ont été contraints de passer une contre-visite. C’est deux fois et demie plus que les voitures particulières (4,28 %). Entre quatre et sept ans, le taux d’échec grimpe à 14,29 %. Il monte à 18,7 % pour les VUL de 7 à 10 ans et culmine à 28,31 % pour les plus de 10 ans. Pour le CNPA qui relaie ces données, la situation est sérieuse et constitue « une source de précarité et de danger si ces véhicules ne sont pas entretenus de façon régulière. »
Autre point négatif, le contrôle obligatoire de la pollution effectué annuellement en alternance avec le contrôle technique. C’est encore pire puisque les propriétaires des VUL s’en exonèrent de plus en plus. Sur 2,5 millions d’utilitaires ayant passé le contrôle technique en 2019, seulement 1,246 million s’est présenté en 2020 pour effectuer le contrôle de leurs émissions polluantes. À peine plus de la moitié et un recul de plus de 21 % par rapport à la période précédente. Le constat est édifiant. Autant dire qu’ils se contrefichent de ces obligations réglementaires et ne craignent pas vraiment les sanctions qui pourraient en découler. Il serait intéressant de connaître le nombre de ceux qui se sont fait verbaliser pour s’être exonérés de ce contrôle. Pas beaucoup sans aucun doute.
Comme le souligne le CNPA, cela constitue pourtant « un enjeu majeur dans le contexte de la mise en place des Zones à Faibles Émissions ». Avec le risque de voir des voitures correctement entretenues mais classées en Crit’Air 3 ou 4 interdites des centres-villes alors que des VUL ultra-polluants et dangereux pourront y circuler librement en toute impunité. DM

La CCI Marne en Champagne lance le service CCILIB.fr

Entreprises
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La CCI Marne en Champagne lance le service CCILIB.fr pour les entreprises marnaises, afin de les aider face aux nombreux défis qui les attendent pour le rebond de leur activité depuis le déconfinement.

Saisir de nouvelles opportunités, faire les bons choix, prendre des décisions stratégiques, investir ou encore s’engager dans une transition numérique et écologique sont autant de défis qui animent les entrepreneurs dans cette période si particulière.

Porteuse de solutions concrètes, la CCI Marne en Champagne déploie une nouvelle initiative permettant aux entreprises marnaises de bénéficier d’échanges, de conseils et d’accompagnements avec d’autres chefs d’entreprises ou des techniciens de la CCI.

À travers le service CCILIB.fr, les entreprises peuvent ainsi réserver un créneau de leur choix pour rencontrer un chef d’entreprise expérimenté, ou un technicien de la CCI, tous deux disponibles et bienveillants. Selon les questionnements, doutes et interrogations du chef d’entreprise, deux approches confidentielles sont possibles :

  • Un volet d’échanges techniques avec un technicien de la CCI pour bénéficier des solutions et des accompagnements structurants sur les principales fonctions de l’entreprise : finances, RH, développement commercial, numérique, cession-transmission, prévention des difficultés…
  • Un volet d’échanges libres avec un chef d’entreprise qui connaît et vit les réalités et le quotidien d’un entrepreneur. Il apportera son vécu d’entrepreneur pour aider le chef d’entreprise dans ses prises de décisions stratégiques. Dans le prolongement de toutes les actions mises en place depuis le début de la crise Covid, la CCI Marne en Champagne poursuit les engagements qui fondent son ADN d’entrepreneur, la proximité au service des entreprises.
    Plus que jamais, pour que les entreprises de la Marne bénéficient d’un rebond économique serein, qu’elles se vaCCInent avec les outils et solutions de leur CCI !

Paris-Vatry : l’aéroport poursuit sa croissance

Collectivités
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Après une forte augmentation en 2020, l’aéroport marnais continue en 2021 d’enregistrer une croissance de son activité cargo. 7 260 tonnes de fret ont été traitées sur les 4 premiers mois de l’année (+ 71% vs 2020).
Au 30/04/2021, l’activité est la suivante :
• Tonnage de fret traitées : 7 260 tonnes (+71 % vs 2020)
• Mouvements cargo : 406 mouvements (+327 % vs 2020)
• Mouvements totaux : 3 053 mouvements (+16 % vs 2020)
• Passagers : 8 902 ( -49 % vs 2020)

« Je tiens à saluer et remercier les équipes de l’aéroport qui sont pleinement mobilisées et engagées dans le développement de notre plateforme. Alors que le secteur de l’aérien reste très fortement impacté par la crise sanitaire/économique, nos efforts et les atouts de notre plateforme nous permettent d’être dans une dynamique positive, synonyme de croissance et de création d’emplois, situation assez rare à l’heure actuelle pour être soulignée. L’objectif des 30 000 tonnes de fret cette année devrait être atteint, notamment grâce aux opérations attendues en mai /juin, et un pic d’activité à venir sur le dernier trimestre de nos trafics e-commerce », déclare Christophe Parois, Directeur de l’Aéroport Paris-Vatry.