À l’heure de boucler l’exercice 2025, que retenir de cette année qui s’achève ? Que retiendra l’Histoire de ces 12 mois ?
Il n’est pas à exclure que cette année se termine sans regret pour la majorité des Français. Ni fleurs ni couronnes, passons vite à 2026. Il faut en effet avouer que nous n’avons pas été épargnés. Dans un contexte international pesant, une conjoncture nationale de fort déficit et de pouvoir d’achat en berne, les Français auraient sans doute aimé pouvoir se reposer sur leur gouvernement pour entrevoir une éclaircie. Hélas, après avoir fini 2024 avec un changement de Premier ministre, rien ne s’est véritablement amélioré, puisqu’après 9 mois de tergiversations, ce sont même deux nouveaux gouvernements successifs qui sont apparus en 24 heures début octobre.
Entre les demandes de démission, les fantasmes de dissolution, les menaces de censure, la classe politique n’a jamais semblé aussi isolée pour ne pas dire déconnectée des attentes des Français. Et celles-ci ne sont pas extravagantes. Conscient des menaces extérieures, des défis intérieurs et d’un avenir qui nécessite du sérieux, qu’ils soient particuliers ou entreprises, nos compatriotes n’attendent rien d’autre qu’une vision claire pour instaurer ce qui leur manque cruellement aujourd’hui : de la confiance.
En l’absence de regrets au moment de laisser derrière nous une année 2025 qui aura été sans doute l’une des plus complexes à aborder pour de nombreux secteurs d’activités, formulons quelques espoirs pour l’année 2026 qui approche.Sans illusions inutiles mais avec au moins l’espérance que celle-ci ne soit pas qu’une année de transition avant la lointaine échéance de 2027 qui occupe bien trop d’esprits aujourd’hui !