Sandero et Jogger : des motorisations inédites
Nouveauté. Un vent de nouveautés souffle sur les gammes Dacia. Nouveaux blocs plus performants et plus sobres, équipement enrichi et évolutions esthétiques pour les Sandero et Jogger.
 
Ce sont des stars populaires. Elles dominent leur segment de marché en Europe. Depuis 2017, Le duo Sandero-Sandero Stepway est la gamme la plus vendue à l’échelon continental. Avec un record pour la marque : l’an dernier, la branche roumaine du Groupe Renault en a écoulé plus de 300 000. Une première. De son côté, le Jogger, croisement réussi d’un break et d’un crossover, a rapidement trouvé sa place dans la plupart des pays européens avec plus de 96 000 acheteurs en 2024. Pour le moment, ils sont sans concurrents sérieux. Leur succès repose sur la recette bien connue de Dacia : en donner pour son argent au client.
Parmi les nouveautés et évolutions diverses dont bénéficient les Sandro et Jogger, il y a d’abord ce qui se voit. Une proue redessinée pour commencer. Bouclier, calandre, optiques avec une nouvelle signature lumineuse dont les deux gammes sont les premières à bénéficier. Cette face avant inédite renforce l’identité des Sandero et Jogger. Les Sandero Stepway et Jogger y ajoutent des protections latérales et des passages de roues dans un matériaux inédit, le « Starkle », conçu par les ingénieurs de Dacia. Constitué de plastique recyclé à 20%, dépourvu de peinture, il résiste mieux aux petits chocs du quotidien.
À bord, les duettistes Dacia font peau neuve avec l’adoption de revêtements inédits sur les contre-portes, le tableau de bord, les sièges... Avec pour les finitions « Journey » un denim bleu, réchauffant l’ambiance intérieure. Elles héritent également d’un nouveau volant multifonctions. Instrumentation numérique, système multimédia avec écran central de 10 pouces, chargeur de smartphone par induction, connectivité embarquée plus performante avec trois niveaux de prestations en fonction des exigences des clients, projecteurs automatiques, rétros extérieurs rabattables électriquement, caméra multi-vues facilitant les manoeuvres, configuration personnalisée des aides à la conduite grâce au bouton « my safety » : ceux qui en sont restés aux Dacia du début du siècle seront surpris.
Jusqu’à 1 590 km d’autonomie
Il y a surtout ce qui ne se voit pas mais qui sera apprécié au quotidien : des motorisations inédites à la fois plus efficientes et plus sobres. Le Jogger à la primauté du tout nouveau bloc « hybrid 155 » lancé sur le Bigster. Un quatre cylindres 1,8 l essence développant 109 ch, associé à deux moteurs électriques pour une puissance cumulée de 155 ch. Le tout accouplé à une boite de vitesse automatique exclusive au Groupe Renault avec quatre rapports pour le moteur thermique et deux pour le bloc électrique. Plus puissant de 10% par rapport à celui qu’il remplace, ce groupe est plus sobre et émet moins d’émissions : un gain de 10% dans les deux cas selon le constructeur. En outre, Dacia met en avant la possibilité d’effectuer jusqu’à 80% des trajets urbains en tout électrique et des démarrages en 100% électrique. La Sandero Stepway patientera jusqu’au dernier trimestre 2026 pour bénéficier de ce bloc qui en fera à la fois la première Sandero hybride et la plus puissante de sa jeune histoire.
Autre nouveauté, le moteur Eco-G 120. Outre une puissance majorée de 20 ch, le trois cylindres 1,2 l turbo fonctionnant au GPL sera proposé en option avec une boite automatique à six rapports. Avec pertinence, Dacia a augmenté la taille des réservoirs de GPL la portant à 49,6 l sur les Sandero et 48,8 l sur le Jogger. Il en résulte une autonomie globale conventionnelle en hausse de 20 % : 1 590 km sur les Sandero, 1 480 km sur le Jogger. C’est exceptionnel. Succès commercial prévisible. Enfin, le « petit » 3 cylindres 1.0 l turbo d’accès gagne 10 ch passant à 100 ch pour apporter plus d’agrément.
Dans un univers automobile où les fortes augmentations de tarifs ont rendu l’achat d’une voiture neuve inaccessible aux classes moyennes, Dacia constitue plus que jamais un choix judicieux.